*
Invisible enfin
Par les arabesques de la catastrophe
Embrasser le souffle du derviche
Et danser sans fin
C'est ainsi et s'achève
L'illusion du combat
Cette vie fut le rêve
Dans lequel tu tombas
Et pour mort laissé
Passons du trépas à la vie.
*
Invisible enfin
Par les arabesques de la catastrophe
Embrasser le souffle du derviche
Et danser sans fin
C'est ainsi et s'achève
L'illusion du combat
Cette vie fut le rêve
Dans lequel tu tombas
Et pour mort laissé
Passons du trépas à la vie.
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- hasia aime ceci
J'aime ce souffle triomphal et mystique.
Merci pour un tel poème...
Le samâ'
Ô jour, lève-toi! des atomes dansent,
Les âmes ,éperdues d'extase, dansent:
A l'oreille, je te dirai où entraîne la danse.
Tous les atomes dans l'air et dans le désert,
Sache-le bien sont tels des insensés.
Chaque atome, heureux ou misérable,
Est épris de ce Soleil dont rien ne peut être dit."(Rubâ'iyât, trad.inédite)