*
Arbre vacant planté
Au coeur du drame
Je dessine des révolutions
Aux astres errants
Parmi les ruines et le rien
Au vau l'eau du moulin
Ta main perdue dans la mienne
Jetée au feu de nos yeux
Où que j'aille
Un désert de paille à brûler
Le féminin d'une larme où briller
Quelques mots de passe pour tout embrouiller
...
Ta peur se fracasse
Au silence
Je dessine un mur
Pour que tu t'élances
...
Dans ces odeurs de soufre
Je cuis mes lourdeurs
Et tout évaporé m'en viens
Couler tes couleurs
...
Tandis que l'autre s'égare
Dans le labyrinthe
S'éreinte à crier gare
A ses frères
Puis s'en vas
Portant leurs plaintes
A la bougie jamais éteinte
De Marie de Magdala.
...
*
Arbre vacant planté
Au coeur du drame
Je dessine des révolutions
Aux astres errants
Parmi les ruines et le rien
Au vau l'eau du moulin
Ta main perdue dans la mienne
Jetée au feu de nos yeux
Où que j'aille
Un désert de paille à brûler
Le féminin d'une larme où briller
Quelques mots de passe pour tout embrouiller
...
Ta peur se fracasse
Au silence
Je dessine un mur
Pour que tu t'élances
...
Dans ces odeurs de soufre
Je cuis mes lourdeurs
Et tout évaporé m'en viens
Couler tes couleurs
...
Tandis que l'autre s'égare
Dans le labyrinthe
S'éreinte à crier gare
A ses frères
Puis s'en vas
Portant leurs plaintes
A la bougie jamais éteinte
De Marie de Magdala.
...
*
- hasia aime ceci
"...
Ta peur se fracasse
Au silence
Je dessine un mur
Pour que tu t'élances"
Dessiner, dessiner...
il ne suffit
l'élan
le sable
la perche du rêve
restent et demeurent absents!!!
au poète,
démuni du fil d'Ariane...
hasia*