*
Que je sache
Dans la métaphysique de saison
A la mort des feuilles
Au plus sourd de ton oraison
Dans mon foyer d'acceuil
Au plus sensible des cités
Dans la numérisation du flash
Au vertige des publicités
La poésie se cache
Comme un relent d'éternité
Dans ma crinière d'apache
Comme la fleur énamourée
Dans la moiteur de ta cache
Et par les vents de rescousse
La vérité s'arrache
Là où les ailes nous poussent
La poésie me cache.
*
Que je sache
Dans la métaphysique de saison
A la mort des feuilles
Au plus sourd de ton oraison
Dans mon foyer d'acceuil
Au plus sensible des cités
Dans la numérisation du flash
Au vertige des publicités
La poésie se cache
Comme un relent d'éternité
Dans ma crinière d'apache
Comme la fleur énamourée
Dans la moiteur de ta cache
Et par les vents de rescousse
La vérité s'arrache
Là où les ailes nous poussent
La poésie me cache.
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