*
Quand finira le bel incendie
J'aurai rougi mon or
Et pour le tout perdu la partie
Quand ton coeur m'aura envahi
Je mourrai alors
Sans jamais être d'ici
Je suis.
*
Quand finira le bel incendie
J'aurai rougi mon or
Et pour le tout perdu la partie
Quand ton coeur m'aura envahi
Je mourrai alors
Sans jamais être d'ici
Je suis.
*
- hasia aime ceci
Et si aimer n'était que liberté infinie...
Ce vivre sans cesse en mouvement, éternellement,
selon le pouls de l'éternité...
Délicat, pur, exquis.
J'adore votre poème!
Merci captaim.
Belle soirée.
hasia