Vaisseau amiral dans les spires intemporelles,
La lumière se peint de couleurs d'aquarelles,
Dans le vide stellaire des ondes orange,
Convergent vers le centre de l'étrange...
A des milliers de parsecs de l'oubli terrestre,
Mon âme voyage dans les nuées supraterrestres,
Émotions sans gravité au bonheur impalpable
Une densité obscure de masse portant inévitable...
Nova ou étoile d'une galaxie lointaine,
Épouse les orbites bleues des fontaines
Filaments fluides des vapeurs stellaires,
Aux lois des éléments corpusculaires.
Un petit prince cueille une rose blanche,
Sur une aster au parfum invisible,
Des corolles de satellites sur ses hanches
Dentelles en diadèmes indivisibles...
Filantes demoiselles aux panaches flamboyants,
Un message fugace dans leurs chevelures dorées
Les fées joutent dans les anneaux ondoyants
De paraboliques célestes et colorées.
Le vent des poussières solaires
Lève ma voilure en des harmonies
Instantanés de silence pour symphonies
Et instruments gravitationnels bipolaires...
Arthur s'enroule autour des voyelles sidérales
Et son esprit vogue dans l'aire astrale,
Quelques bateaux aux allures cosmiques
Arrache des pinceaux de cosmétiques,
Aux ailes déployées des anges du paradis...
Les pensées sont vierges des rêves de jadis,
Dans un linceul de bonheur, gisent d'inouïes,
Visages éternels, dans la paix, enfouis.
La lumière se peint de couleurs d'aquarelles,
Dans le vide stellaire des ondes orange,
Convergent vers le centre de l'étrange...
A des milliers de parsecs de l'oubli terrestre,
Mon âme voyage dans les nuées supraterrestres,
Émotions sans gravité au bonheur impalpable
Une densité obscure de masse portant inévitable...
Nova ou étoile d'une galaxie lointaine,
Épouse les orbites bleues des fontaines
Filaments fluides des vapeurs stellaires,
Aux lois des éléments corpusculaires.
Un petit prince cueille une rose blanche,
Sur une aster au parfum invisible,
Des corolles de satellites sur ses hanches
Dentelles en diadèmes indivisibles...
Filantes demoiselles aux panaches flamboyants,
Un message fugace dans leurs chevelures dorées
Les fées joutent dans les anneaux ondoyants
De paraboliques célestes et colorées.
Le vent des poussières solaires
Lève ma voilure en des harmonies
Instantanés de silence pour symphonies
Et instruments gravitationnels bipolaires...
Arthur s'enroule autour des voyelles sidérales
Et son esprit vogue dans l'aire astrale,
Quelques bateaux aux allures cosmiques
Arrache des pinceaux de cosmétiques,
Aux ailes déployées des anges du paradis...
Les pensées sont vierges des rêves de jadis,
Dans un linceul de bonheur, gisent d'inouïes,
Visages éternels, dans la paix, enfouis.