Quelques papillons millefeuilles,
Tatoués sur ta peau d'orange
Quelques gouttes de soleil en deuil
Sur tes yeux poudrés qui dérangent.
Des accords parfaits imitent la beauté,
Entre tes seins un rose bonbon acidulé
Pose un diadème en son écrin velouté,
Et cette rivière dans mes rêves adulée.
Quelques sourires en ras des commissures
Avive le désir féminin sur tes lèvres rouges,
Quelques éclats noires bougent
Dans ton regard sans plissure.
Des perles dorées de vénus scintillent
De célestes augures emplissent ta venue,
Une farandole d'anges sur l'avenue
Dans tes pas de vénus pétillent.
Quelques aurores impriment ton corps
D'auréoles sous l'horizon florale,
Canopée vierge de l'antre du décor,
Berceau de l'enfant viscérale.
Un rempart brisé d'une tour cathare
Ouvre le chemin de ton âme,
Au sommet l'épée d'un barbare
Un fier amant qui t'acclame.
Quelques audaces entre les vagues
Déferlante douce qui zigzague,
Quelques rires étendus sur la berge
Butins de ton souvenir où je gamberge.
Tatoués sur ta peau d'orange
Quelques gouttes de soleil en deuil
Sur tes yeux poudrés qui dérangent.
Des accords parfaits imitent la beauté,
Entre tes seins un rose bonbon acidulé
Pose un diadème en son écrin velouté,
Et cette rivière dans mes rêves adulée.
Quelques sourires en ras des commissures
Avive le désir féminin sur tes lèvres rouges,
Quelques éclats noires bougent
Dans ton regard sans plissure.
Des perles dorées de vénus scintillent
De célestes augures emplissent ta venue,
Une farandole d'anges sur l'avenue
Dans tes pas de vénus pétillent.
Quelques aurores impriment ton corps
D'auréoles sous l'horizon florale,
Canopée vierge de l'antre du décor,
Berceau de l'enfant viscérale.
Un rempart brisé d'une tour cathare
Ouvre le chemin de ton âme,
Au sommet l'épée d'un barbare
Un fier amant qui t'acclame.
Quelques audaces entre les vagues
Déferlante douce qui zigzague,
Quelques rires étendus sur la berge
Butins de ton souvenir où je gamberge.