Un appareil fluvial descendait des fleuves en furies
Aux chants des indigènes riants aux éclats des fééries.
L’eau vive alléchant leurs corps d’ébène et de sable,
La jungle rugissait de la cadence de ces indiens affables,
Le visage en liesse ils montraient ainsi leurs profils
A mes yeux ébahis dans les cataractes au longs fils.
Une rumeur décousue envahit les cimes de l’espace,
A la musique végétale d’une verdure trop vivace,
S’engageant dans ce chenal enivré de parfums égarés,
Dressés sur le flanc des rives dansaient des bigarrés,
Mirages de femmes aux draps colorés et tressées.
Le ciel chargé de pesantes menaces pressées
Nous prédisait l’humeur magique des amazones,
Des lianes enlacées aspiraient l’essence de l’ozone.
Un appareil fluvial descendait des fleuves en furies
Aux chants des indigènes riants aux éclats des fééries.
Aux chants des indigènes riants aux éclats des fééries.
L’eau vive alléchant leurs corps d’ébène et de sable,
La jungle rugissait de la cadence de ces indiens affables,
Le visage en liesse ils montraient ainsi leurs profils
A mes yeux ébahis dans les cataractes au longs fils.
Une rumeur décousue envahit les cimes de l’espace,
A la musique végétale d’une verdure trop vivace,
S’engageant dans ce chenal enivré de parfums égarés,
Dressés sur le flanc des rives dansaient des bigarrés,
Mirages de femmes aux draps colorés et tressées.
Le ciel chargé de pesantes menaces pressées
Nous prédisait l’humeur magique des amazones,
Des lianes enlacées aspiraient l’essence de l’ozone.
Un appareil fluvial descendait des fleuves en furies
Aux chants des indigènes riants aux éclats des fééries.