?
Ô
La danse des heures efface la ride du temps,
Les aiguilles flânent au cadran de mon cœur.
Par la fenêtre claire entre une âme sœur
Pareille à la lumière blanche du printemps,
Elle lave mes pensées impures et tachées du noir
De mes maux indécents et douloureux.
L’éveil de l’esprit au corps souffrant malheureux
Invoque une blessure assénée au saignoir…
Ô
!
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