«À l’orée du bois double»
Qui traverse les ans
Aura
Imprimé d’ efflorescence fluorescente mon cortex
De ces quelques mots quelconques
Aux ans perdus des envies perdues
Fantastiquement nuls
Et le vert persiste
Vert en l’entêtement du vert
Et les doigts disjoints d’être séparés d’eux-même
Qui ne frappent et ne décrivent et ne se meuvent et n’évertuent
Cyclones punaisés
Sur une table de toile.
Qui traverse les ans
Aura
Imprimé d’ efflorescence fluorescente mon cortex
De ces quelques mots quelconques
Aux ans perdus des envies perdues
Fantastiquement nuls
Et le vert persiste
Vert en l’entêtement du vert
Et les doigts disjoints d’être séparés d’eux-même
Qui ne frappent et ne décrivent et ne se meuvent et n’évertuent
Cyclones punaisés
Sur une table de toile.