C’est un tapis de primevères
Ondulant à la chaleur de nos yeux
Les reflets de ma tête d’eau enturbannée
Avec ses arômes de sucre maternel
Ses petits passages secrets aux détours
Brillent malicieux au contact de sa bouche
Elle me suit devant moi et les flux se dissipent
Elle,
Emprunt à l’argile des frontières ennemies
Elle,
Et le temps mort rouge éreintant révolu
Elle,
Et nos périples incessants
Elle me suit devant moi et les flux se dissipent
Ondulant à la chaleur de nos yeux
Les reflets de ma tête d’eau enturbannée
Avec ses arômes de sucre maternel
Ses petits passages secrets aux détours
Brillent malicieux au contact de sa bouche
Elle me suit devant moi et les flux se dissipent
Elle,
Emprunt à l’argile des frontières ennemies
Elle,
Et le temps mort rouge éreintant révolu
Elle,
Et nos périples incessants
Elle me suit devant moi et les flux se dissipent