Moi, dans le noir...
Les notes de musiques poussent ma sensibilité
Dans des rêves utopiques où les jours ne sont que beauté...
Je frappe à la porte de l'insouciance,
Je provoque l'envoûtante démence,
Je la nargue,
Elle me toise...
Elle ne m'effraie guère,
Elle m'attire,
Elle efface mes repères,
Je respire...
Les mots rêvent à y croire
Mais s'immobilisent dans le noir.
Ils ne verront pas la lumière,
Ils resteront mon mystère...
et je pense...
Des fragments de vie
où la raison à perdu sa place,
où le bonheur furtif envahit
un coeur qui se sauve de glace..
et je souris...
Envie de me prendre par la main,
"allez, viens !
Toi mon Ego, et moi,
comme des clandestins...
Prenons le chemin insolite de nos propres illimites..."
Fabienne Kinsch
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