Je ne pense plus rien,
Tu me donne ta main
Et je la prend, ma belle,
Elles montent vers le ciel.
La musique commence,
Suivie par notre danse.
On tourne en rond par là,
Puis retourne ici-bas.
Ce château est très beau
Et nous sommes ceux d'en-haut.
Robe et corset, costume
De bourgeois, on l'assume.
Me voici enchanté,
Ô je t'aime dès lors.
Dans ce lieu orangé,
Lumière, verre et or.
Ô cette liberté
Et ce très grand bonheur,
Heureux, j'aime t'aimer,
Te voici dans mon coeur.
David Gandil, 24 novembre 2010
Tu me donne ta main
Et je la prend, ma belle,
Elles montent vers le ciel.
La musique commence,
Suivie par notre danse.
On tourne en rond par là,
Puis retourne ici-bas.
Ce château est très beau
Et nous sommes ceux d'en-haut.
Robe et corset, costume
De bourgeois, on l'assume.
Me voici enchanté,
Ô je t'aime dès lors.
Dans ce lieu orangé,
Lumière, verre et or.
Ô cette liberté
Et ce très grand bonheur,
Heureux, j'aime t'aimer,
Te voici dans mon coeur.
David Gandil, 24 novembre 2010