Durant tant de belles années,
Tant de rumeurs ont circulé.
J'étais insouciant et heureux
Dans cet endroit très luxueux.
Parlant toujours des gens d'en haut
Mais jamais des gens d'ici-bas,
Que l'on soit assis tout en haut
Ou bien toujours debout en bas.
Ma mère était vraiment très belle,
C’était là, une dame heureuse,
Délicatement amoureuse
De la richesse naturelle.
J’aimerais être encore Louis,
Oui, un fils toujours prétentieux
Qui aime ce qui brille aux yeux,
Car je suis, moi, un fils de roi.
Mais aujourd’hui, je ne suis rien
Qu’un jeune enfant abandonné.
On m’a pris et emprisonné,
Jeté comme un chien maltraité.
J’étais dans un coin sombre assis,
Tout le peuple voulait ma peau.
Je pleure mes pauvres parents
Qui sont tous morts sur l’échafaud.
J’aurais dû être très heureux,
Dans ce monde si merveilleux.
Mais le monde n’est plus ici,
Ici, personne n’est gentil.
Où suis-je ? Et où puis-je aller ?
Je ne peux plus me relever.
On m’a volé mon avenir,
Je vais alors bientôt partir.
David Gandil, 3 mars 2011
Tant de rumeurs ont circulé.
J'étais insouciant et heureux
Dans cet endroit très luxueux.
Parlant toujours des gens d'en haut
Mais jamais des gens d'ici-bas,
Que l'on soit assis tout en haut
Ou bien toujours debout en bas.
Ma mère était vraiment très belle,
C’était là, une dame heureuse,
Délicatement amoureuse
De la richesse naturelle.
J’aimerais être encore Louis,
Oui, un fils toujours prétentieux
Qui aime ce qui brille aux yeux,
Car je suis, moi, un fils de roi.
Mais aujourd’hui, je ne suis rien
Qu’un jeune enfant abandonné.
On m’a pris et emprisonné,
Jeté comme un chien maltraité.
J’étais dans un coin sombre assis,
Tout le peuple voulait ma peau.
Je pleure mes pauvres parents
Qui sont tous morts sur l’échafaud.
J’aurais dû être très heureux,
Dans ce monde si merveilleux.
Mais le monde n’est plus ici,
Ici, personne n’est gentil.
Où suis-je ? Et où puis-je aller ?
Je ne peux plus me relever.
On m’a volé mon avenir,
Je vais alors bientôt partir.
David Gandil, 3 mars 2011