Il suffit d'une simple larme,
Qui semble la meilleur des armes,
Pour que nos mauvais souvenirs
Disparaissent pour un sourire.
Il faut alors nous dire, heureux,
Que ce n'est pas nous qui pleurons,
Que ce sont seulement nos yeux,
Voulant oublier leurs visions.
Passer, seul, toute une soirée,
Perdu dans toutes nos pensées,
Dans notre grand lit, en pleurant,
Tout cela n'ai pas très marrant.
Je me dis : si le mot malheur,
Si tout cela n'existait pas,
Nous ne serions dans ces états,
Nous connaitrions le bonheur.
Goutte d'eau de nos émotions,
L'expression de nos sentiments.
Moi, j'ai une autre solution :
La poésie, tout simplement.
Trouvant des solutions à tout,
Je m'identifie de partout,
Éloignant ainsi le malheur,
Ne faisant place qu'au bonheur.
David Gandil, 6 mars 2011
Qui semble la meilleur des armes,
Pour que nos mauvais souvenirs
Disparaissent pour un sourire.
Il faut alors nous dire, heureux,
Que ce n'est pas nous qui pleurons,
Que ce sont seulement nos yeux,
Voulant oublier leurs visions.
Passer, seul, toute une soirée,
Perdu dans toutes nos pensées,
Dans notre grand lit, en pleurant,
Tout cela n'ai pas très marrant.
Je me dis : si le mot malheur,
Si tout cela n'existait pas,
Nous ne serions dans ces états,
Nous connaitrions le bonheur.
Goutte d'eau de nos émotions,
L'expression de nos sentiments.
Moi, j'ai une autre solution :
La poésie, tout simplement.
Trouvant des solutions à tout,
Je m'identifie de partout,
Éloignant ainsi le malheur,
Ne faisant place qu'au bonheur.
David Gandil, 6 mars 2011