Auprès de toi, ainsi posé,
Touchant ton ample chevelure,
Dans cet endroit pleins de luxure,
Je ne vois que tes beaux reflets.
Vois, ma main posée sur ta hanche,
Si douce et fine, qui s'avance
Avec la dentelle sur nos manches.
Je t'entraine dans une danse.
Une danse n'ayant de fin.
Suis-moi et donne-moi ta main,
Pose-la alors simplement
Et dansons, ensemble et contents.
Marchons ensuite sur nos pas
Et allons sur d'autres chemins.
Viens, je t'emmène loin, au loin,
Aller voir des jardins, par là.
Puis, comblé, je m'allongerai,
Espérant partir avec toi
Ensemble jusqu'à l'au-delà.
J'aimerais tant pouvoir monter.
De la lumière, j'en rêverai,
Quand mes yeux seront fermés.
Comme Versailles, sans y penser,
Je serai heureux de rêver.
David Gandil, 9 mars 2011
Touchant ton ample chevelure,
Dans cet endroit pleins de luxure,
Je ne vois que tes beaux reflets.
Vois, ma main posée sur ta hanche,
Si douce et fine, qui s'avance
Avec la dentelle sur nos manches.
Je t'entraine dans une danse.
Une danse n'ayant de fin.
Suis-moi et donne-moi ta main,
Pose-la alors simplement
Et dansons, ensemble et contents.
Marchons ensuite sur nos pas
Et allons sur d'autres chemins.
Viens, je t'emmène loin, au loin,
Aller voir des jardins, par là.
Puis, comblé, je m'allongerai,
Espérant partir avec toi
Ensemble jusqu'à l'au-delà.
J'aimerais tant pouvoir monter.
De la lumière, j'en rêverai,
Quand mes yeux seront fermés.
Comme Versailles, sans y penser,
Je serai heureux de rêver.
David Gandil, 9 mars 2011