Tu m'as lâché, laissé tomber,
Et pourquoi devrais-je en pleurer ?
Tu n'en vaux pas si grande peine,
Je me demande où est ma haine.
Tu n'es plus la soeur de mon âme,
Tu ne mérite aucune larme.
Je resterai toujours heureux
Car rien n'est vraiment malheureux.
Je sais que tu es loin, partie,
Car tu n'as pas voulu ma vie.
Mais je n'ai pas de désespoir
Car je rêve, gardant espoir.
Je crois toujours au vrai bonheur
D'une très belle vie sans pleurs
Avec une âme grande et belle.
Nous serons à jamais fidèles.
Un jour tu es, alors, partie
Et bien sûr, je t'en remercie.
Car j'attends ma vraie destinée,
L'avenir, tu me l'a montré.
Va épater la gallerie,
Si cette vie te plait ainsi.
Je te laisse partir, oui, va,
Ne reviens plus jamais vers moi.
Je n'aurai plus de honte, ainsi,
De ma jalousie envers lui.
Tu sera notre lien d'espoir,
Sans espérer de te revoir.
David Gandil, 14 mars 2011
Et pourquoi devrais-je en pleurer ?
Tu n'en vaux pas si grande peine,
Je me demande où est ma haine.
Tu n'es plus la soeur de mon âme,
Tu ne mérite aucune larme.
Je resterai toujours heureux
Car rien n'est vraiment malheureux.
Je sais que tu es loin, partie,
Car tu n'as pas voulu ma vie.
Mais je n'ai pas de désespoir
Car je rêve, gardant espoir.
Je crois toujours au vrai bonheur
D'une très belle vie sans pleurs
Avec une âme grande et belle.
Nous serons à jamais fidèles.
Un jour tu es, alors, partie
Et bien sûr, je t'en remercie.
Car j'attends ma vraie destinée,
L'avenir, tu me l'a montré.
Va épater la gallerie,
Si cette vie te plait ainsi.
Je te laisse partir, oui, va,
Ne reviens plus jamais vers moi.
Je n'aurai plus de honte, ainsi,
De ma jalousie envers lui.
Tu sera notre lien d'espoir,
Sans espérer de te revoir.
David Gandil, 14 mars 2011