Je me rappelle de l'année
Où j'aimais tant la poésie.
Du monde, j'aimais la beauté,
Et ton charme m'a attiré.
Ensemble, partant faire un tour,
On s'est balladé dans la Cour,
Tranquillement, comme des gens,
C'était beau la vie au printemps.
On était jeune et amoureux,
Je t'es alors fait un aveu :
Je t'es promis fidélité,
Jusqu'à l'au-delà, de t'aimer.
J'aimais, en France, voyager.
J'aimais, partir en liberté.
J'étais l'homme le plus heureux,
Plongeant chaque jour dans tes yeux.
Oui, rappelle-toi, mon amour,
L'année où on s'est rencontré.
Mais tu t'es envolée un jour,
Là où, un jour, aussi j'irai.
David Gandil, 4 avril 2011
Où j'aimais tant la poésie.
Du monde, j'aimais la beauté,
Et ton charme m'a attiré.
Ensemble, partant faire un tour,
On s'est balladé dans la Cour,
Tranquillement, comme des gens,
C'était beau la vie au printemps.
On était jeune et amoureux,
Je t'es alors fait un aveu :
Je t'es promis fidélité,
Jusqu'à l'au-delà, de t'aimer.
J'aimais, en France, voyager.
J'aimais, partir en liberté.
J'étais l'homme le plus heureux,
Plongeant chaque jour dans tes yeux.
Oui, rappelle-toi, mon amour,
L'année où on s'est rencontré.
Mais tu t'es envolée un jour,
Là où, un jour, aussi j'irai.
David Gandil, 4 avril 2011