Au soleil, je me baladais,
Observant la belle nature
Qui reflétait tant de luxure,
Et je t'ai ainsi rencontré.
Accompagnée de tes amies,
En voyant ta grande beauté,
Je suis alors tombé épris.
Mais ensuite on s'est éloigné.
Pensant à toi pendant le jour,
Rêvant de toi durant la nuit,
Je voulais te revoir un jour
Pour t'avouer mon grand amour.
Souvent j'étais au bord de l'eau
Et je te voyais t'amuser
Mais je n'osais pas te parler,
Rien ne me semblait assez beau.
Car je suis le fils de mon âme,
J'écoute ma voix intérieure.
Elle semble tant aimer ton charme
Mais n'écoute jamais mon coeur.
Comme un fou, je suis à genoux.
Mon âme fait tous mes poèmes,
Mon âme pense à elle-même
Et pour moi, réfléchie beaucoup.
Oui, je le sais bien, je t'aime.
Mais regarde ma grande peine,
Mon âme ne veut pas t'aimer
Et mon coeur est son prisonnier.
Viens, me dire quelques pensées,
Je t'en supplie tant, viens m'aider.
Mon esprit, lui, seul devant toi,
Parle à l'instinct, tremble de joie.
David Gandil, 10 avril 2011
Observant la belle nature
Qui reflétait tant de luxure,
Et je t'ai ainsi rencontré.
Accompagnée de tes amies,
En voyant ta grande beauté,
Je suis alors tombé épris.
Mais ensuite on s'est éloigné.
Pensant à toi pendant le jour,
Rêvant de toi durant la nuit,
Je voulais te revoir un jour
Pour t'avouer mon grand amour.
Souvent j'étais au bord de l'eau
Et je te voyais t'amuser
Mais je n'osais pas te parler,
Rien ne me semblait assez beau.
Car je suis le fils de mon âme,
J'écoute ma voix intérieure.
Elle semble tant aimer ton charme
Mais n'écoute jamais mon coeur.
Comme un fou, je suis à genoux.
Mon âme fait tous mes poèmes,
Mon âme pense à elle-même
Et pour moi, réfléchie beaucoup.
Oui, je le sais bien, je t'aime.
Mais regarde ma grande peine,
Mon âme ne veut pas t'aimer
Et mon coeur est son prisonnier.
Viens, me dire quelques pensées,
Je t'en supplie tant, viens m'aider.
Mon esprit, lui, seul devant toi,
Parle à l'instinct, tremble de joie.
David Gandil, 10 avril 2011