L'homme qui semble, paraît sage,
Ne doit pas se nommer lui-même.
Il tournera souvent des pages
Mais ne sera jamais le même.
L'homme apprendra à bien mentir,
Grâce aux histoires imaginées
Pour cacher la vraie vérité
Et toujours garder le sourire.
Tous les gens cherchent à être heureux,
Oublient la condition humaine,
Oublient ainsi toutes leurs peines.
L'herbe, l'alcool ou le bon dieu ?
Le bonheur ? Pas vraiment, en somme.
Fou, l'âme s'en va ! J'anticipe,
Je refuse, j'ai des principes,
N'accepte qu'un peu le royaume.
Le bonheur, on court tous après
Et l'amour le fait exister.
On se fera tous rattraper
Par le rang dans la société.
Maîtres de tous nos mouvements,
Il nous faut aller vers l'avant.
Tous ensemble, vers le bonheur
Partagé, pour vivre sans pleurs.
Vers le futur, vers l'avenir,
On va vers une destinée.
Une vie de causes à effets,
De belles pensées et désirs.
Oui, le hasard n'existe pas !
Si je te vois dans ces endroits,
Si je t'ai, ici, rencontré
Et si on commence à s'aimer.
J'ai regardé mes poésies
Et comme j'ai évolué.
Ma vie a changé cette année,
Mon âme, elle, a bien grandi.
Cherchant au fur et à mesure
Une vie rythmée par l'amour,
Par la beauté de la nature,
Par tant de bonheur, tous les jours.
Mes rêves, sont réalisés
Grâce à toutes mes poésies.
Plus tard, je vivrai mes pensées,
Peut-être au cours de la vraie vie.
J'ai ainsi dit beaucoup de choses,
Grâce à toutes ces mêmes causes,
Dans de petites poésies
Qui auront peut-être une vie.
Bien vivre comme tous ces gens,
Je le souhaite tant à l'instant.
Ainsi je cherche l'émotion
Aux dépens d'imagination.
De plus, les sujets diminuent
Et l'imagination s'en va
Même si l'âme est toujours là.
Adulte, je me crois perdu.
David Gandil, 15 avril 2011
Ne doit pas se nommer lui-même.
Il tournera souvent des pages
Mais ne sera jamais le même.
L'homme apprendra à bien mentir,
Grâce aux histoires imaginées
Pour cacher la vraie vérité
Et toujours garder le sourire.
Tous les gens cherchent à être heureux,
Oublient la condition humaine,
Oublient ainsi toutes leurs peines.
L'herbe, l'alcool ou le bon dieu ?
Le bonheur ? Pas vraiment, en somme.
Fou, l'âme s'en va ! J'anticipe,
Je refuse, j'ai des principes,
N'accepte qu'un peu le royaume.
Le bonheur, on court tous après
Et l'amour le fait exister.
On se fera tous rattraper
Par le rang dans la société.
Maîtres de tous nos mouvements,
Il nous faut aller vers l'avant.
Tous ensemble, vers le bonheur
Partagé, pour vivre sans pleurs.
Vers le futur, vers l'avenir,
On va vers une destinée.
Une vie de causes à effets,
De belles pensées et désirs.
Oui, le hasard n'existe pas !
Si je te vois dans ces endroits,
Si je t'ai, ici, rencontré
Et si on commence à s'aimer.
J'ai regardé mes poésies
Et comme j'ai évolué.
Ma vie a changé cette année,
Mon âme, elle, a bien grandi.
Cherchant au fur et à mesure
Une vie rythmée par l'amour,
Par la beauté de la nature,
Par tant de bonheur, tous les jours.
Mes rêves, sont réalisés
Grâce à toutes mes poésies.
Plus tard, je vivrai mes pensées,
Peut-être au cours de la vraie vie.
J'ai ainsi dit beaucoup de choses,
Grâce à toutes ces mêmes causes,
Dans de petites poésies
Qui auront peut-être une vie.
Bien vivre comme tous ces gens,
Je le souhaite tant à l'instant.
Ainsi je cherche l'émotion
Aux dépens d'imagination.
De plus, les sujets diminuent
Et l'imagination s'en va
Même si l'âme est toujours là.
Adulte, je me crois perdu.
David Gandil, 15 avril 2011