Je viens d'enfiler un costume
Et depuis toujours, je l'assume.
Moi, tous les jours je suis heureux,
Mélodie, je suis amoureux.
Je m'incline devant les gens
A la manière d'un courtisan,
Car on a tous droit aux honneurs,
Le droit à un peu de bonheur.
Paix, soyons tous de bons amis,
Nous avons tous les mêmes vies,
Aidons nous, donnons de la joie
Aux gens du monde en qui l'on croit.
Mais il faut qu'on fasse attention
Quand on est riche de bonheur,
Ne pensant plus à soi chaque heure
Et qu'à nos rêves nous croyons.
Nous croyons pouvoir tout avoir,
Que la richesse n'est pas loin,
Alors on donne au désespoir
Le bonheur qu'on connaît très bien.
Je t'offrirai ceci, celà,
Pour te voir heureux devant moi.
Tiens, voici ce que je n'ai pas,
Les moyens pour avoir du choix.
Je t'offrirai une pensée,
Voyager par ici, par là,
Un espoir que tu n'avait pas,
Pour que tu sois émerveillée.
On espère tous, toujours, un jour
Où tout nous sera accessible,
Un monde où tout semble possible,
Mais ce n'est jamais notre tour.
A tout cela, on y peut rien,
Toujours guidé par le destin,
On ne peut rien faire, rien avoir.
Trop rêver mais garder espoir.
David Gandil, 12 mai 2011
Et depuis toujours, je l'assume.
Moi, tous les jours je suis heureux,
Mélodie, je suis amoureux.
Je m'incline devant les gens
A la manière d'un courtisan,
Car on a tous droit aux honneurs,
Le droit à un peu de bonheur.
Paix, soyons tous de bons amis,
Nous avons tous les mêmes vies,
Aidons nous, donnons de la joie
Aux gens du monde en qui l'on croit.
Mais il faut qu'on fasse attention
Quand on est riche de bonheur,
Ne pensant plus à soi chaque heure
Et qu'à nos rêves nous croyons.
Nous croyons pouvoir tout avoir,
Que la richesse n'est pas loin,
Alors on donne au désespoir
Le bonheur qu'on connaît très bien.
Je t'offrirai ceci, celà,
Pour te voir heureux devant moi.
Tiens, voici ce que je n'ai pas,
Les moyens pour avoir du choix.
Je t'offrirai une pensée,
Voyager par ici, par là,
Un espoir que tu n'avait pas,
Pour que tu sois émerveillée.
On espère tous, toujours, un jour
Où tout nous sera accessible,
Un monde où tout semble possible,
Mais ce n'est jamais notre tour.
A tout cela, on y peut rien,
Toujours guidé par le destin,
On ne peut rien faire, rien avoir.
Trop rêver mais garder espoir.
David Gandil, 12 mai 2011