Poésies, papier qui prend vie,
Toutes mes pensées, mes envies.
Elle, peut être le problème
Car inconnue, juste la même.
Une syllabe s'est perdue,
Ou une ajoutée, revenue,
C'est que mon âme prend souvent
Des libertés, comme un enfant.
Perfection, mot fait pour les dames,
L'homme n'en a jamais eu l'âme,
D'être beau et bien raisonné,
D'être un animal si parfait.
Tout ce que j'écris ne l'est pas
Et moi, non plus, ne cherchant pas.
La beauté est indéfinie,
L'âme nous en donne l'envie.
C'est ainsi qu'il y a longtemps,
J'aimais la beauté naturelle,
Une fille parfaite, belle,
Courtisane qui me comprend.
J'aime ce que j'admire ici,
Passionné de son âme bleue,
Présente dans ses si beaux yeux,
La beauté se reconnait, oui.
Le visage nous en dit long
Sur l'âme et toute sa beauté.
C'est pourquoi, moi, j'aime rêver
Et immaginer son prénom.
Ô cet aire si passionné,
Semblant comme contemplation
Et cette manière de marcher,
Ensemble, viens, marchons, partons.
Ô l'âme dans ses jolis yeux,
Ô les vagues dans ses cheveux,
Son ventre si fin et si doux,
Je l'aime tant que j'en suis fou.
Marchant, je la vois arriver,
Mon coeur fait un bruit de pitié
Devant tellement de beauté,
Après l'impossibilité.
J'aimerais cette sensation,
De n'être plus que deux au monde,
Quand tant de plaisir nous innonde
Et qu'il n'y a plus de raison.
Je ne les comprend toujours pas,
Passionnées par n'importe quoi.
L'amour d'un homme non parfait,
Qui n'a donc pas tant d'intérêt.
Favorite, mais bien heureuse,
Aimée, et peut-être amoureuse,
Passionnée, d'une simple vie,
L'illusion, heureux et amis.
David Gandil, 24 mai 2011
Toutes mes pensées, mes envies.
Elle, peut être le problème
Car inconnue, juste la même.
Une syllabe s'est perdue,
Ou une ajoutée, revenue,
C'est que mon âme prend souvent
Des libertés, comme un enfant.
Perfection, mot fait pour les dames,
L'homme n'en a jamais eu l'âme,
D'être beau et bien raisonné,
D'être un animal si parfait.
Tout ce que j'écris ne l'est pas
Et moi, non plus, ne cherchant pas.
La beauté est indéfinie,
L'âme nous en donne l'envie.
C'est ainsi qu'il y a longtemps,
J'aimais la beauté naturelle,
Une fille parfaite, belle,
Courtisane qui me comprend.
J'aime ce que j'admire ici,
Passionné de son âme bleue,
Présente dans ses si beaux yeux,
La beauté se reconnait, oui.
Le visage nous en dit long
Sur l'âme et toute sa beauté.
C'est pourquoi, moi, j'aime rêver
Et immaginer son prénom.
Ô cet aire si passionné,
Semblant comme contemplation
Et cette manière de marcher,
Ensemble, viens, marchons, partons.
Ô l'âme dans ses jolis yeux,
Ô les vagues dans ses cheveux,
Son ventre si fin et si doux,
Je l'aime tant que j'en suis fou.
Marchant, je la vois arriver,
Mon coeur fait un bruit de pitié
Devant tellement de beauté,
Après l'impossibilité.
J'aimerais cette sensation,
De n'être plus que deux au monde,
Quand tant de plaisir nous innonde
Et qu'il n'y a plus de raison.
Je ne les comprend toujours pas,
Passionnées par n'importe quoi.
L'amour d'un homme non parfait,
Qui n'a donc pas tant d'intérêt.
Favorite, mais bien heureuse,
Aimée, et peut-être amoureuse,
Passionnée, d'une simple vie,
L'illusion, heureux et amis.
David Gandil, 24 mai 2011