J'ai regardé dans le beau ciel,
J'ai vu une vie irréelle.
Un monde beau et parallèle
Où les images sont réelles.
Les gens sont heureux et bien sages,
Mais ils ne sont que de passage.
Cette vie est imaginée,
Créée par notre humanité.
En regardant tous les nuages,
Les illusions créent des images
Venant de notre tête, un aire
Du beau Pays Imaginaire.
Je tourne les pages du livre,
Et souvent comme elle, il m'enivre.
Je pars avec un petit sons
Et beaucoup d'imagination.
Je vois tous les mots animés
Et j'écris tout ce que je vois.
La poésie, en liberté,
Permet de croire en soi, ma foi.
Chaque jour arrive le soir
Et un reflet dans un miroir
Nous reflète l'inversement,
Un défaut de retournement.
Et l'on perçoit l'ombre par-terre
Qui se voit grâce à la lumière.
Qui fait l'action le tout premier ?
Ces mondes semblent pourtant vrais.
Qui semble nous suivre partout ?
L'explication ? Je ne l'ai pas !
Cette idée me rend un peu fou.
Sur mon ombre ? Ne marche pas !
Je vois la nuit tomber dehors
Et là, tout disparaît alors,
Les rêves prennent nos pensées,
La vie devant nous apparaît.
David Gandil, 1 juin 2011
J'ai vu une vie irréelle.
Un monde beau et parallèle
Où les images sont réelles.
Les gens sont heureux et bien sages,
Mais ils ne sont que de passage.
Cette vie est imaginée,
Créée par notre humanité.
En regardant tous les nuages,
Les illusions créent des images
Venant de notre tête, un aire
Du beau Pays Imaginaire.
Je tourne les pages du livre,
Et souvent comme elle, il m'enivre.
Je pars avec un petit sons
Et beaucoup d'imagination.
Je vois tous les mots animés
Et j'écris tout ce que je vois.
La poésie, en liberté,
Permet de croire en soi, ma foi.
Chaque jour arrive le soir
Et un reflet dans un miroir
Nous reflète l'inversement,
Un défaut de retournement.
Et l'on perçoit l'ombre par-terre
Qui se voit grâce à la lumière.
Qui fait l'action le tout premier ?
Ces mondes semblent pourtant vrais.
Qui semble nous suivre partout ?
L'explication ? Je ne l'ai pas !
Cette idée me rend un peu fou.
Sur mon ombre ? Ne marche pas !
Je vois la nuit tomber dehors
Et là, tout disparaît alors,
Les rêves prennent nos pensées,
La vie devant nous apparaît.
David Gandil, 1 juin 2011