J'ai ouvert la porte à la vie,
Triste, elle avait tellement l'air,
Abandonnée, en pleine mer,
Seule, elle m'a lancé un cri.
Belle, elle ne va pas très bien,
Plus de famille ni amour.
J'ai posé mon coeur sur le sien,
Une larme et le bonheur cours.
Il était ainsi une fois
Qu'une simple histoire commença,
Toujours guidés par le bonheur,
Chaque jour un peu plus rêveur.
Maintenant, nous sommes en l'an mille,
Celui qui vient après l'an mille.
Tout, même l'amour, à un prix,
Nous sommes fou et on sourit.
L'amour est bien plus important
Que tout l'or du monde, l'argent.
On vit maintenant pour survivre
Car on est à la fin du livre.
Le bout de la racine est là,
Le chemin va prendre enfin fin.
Les hommes auront tous bientôt faim
Mais on gardera notre foi.
La terre n'offrira plus rien,
On est, et sera, comme on né.
Le hasard, et bien ce n'est rien
Mais la chance est la destinée.
David Gandil, 3 juin 2011
Triste, elle avait tellement l'air,
Abandonnée, en pleine mer,
Seule, elle m'a lancé un cri.
Belle, elle ne va pas très bien,
Plus de famille ni amour.
J'ai posé mon coeur sur le sien,
Une larme et le bonheur cours.
Il était ainsi une fois
Qu'une simple histoire commença,
Toujours guidés par le bonheur,
Chaque jour un peu plus rêveur.
Maintenant, nous sommes en l'an mille,
Celui qui vient après l'an mille.
Tout, même l'amour, à un prix,
Nous sommes fou et on sourit.
L'amour est bien plus important
Que tout l'or du monde, l'argent.
On vit maintenant pour survivre
Car on est à la fin du livre.
Le bout de la racine est là,
Le chemin va prendre enfin fin.
Les hommes auront tous bientôt faim
Mais on gardera notre foi.
La terre n'offrira plus rien,
On est, et sera, comme on né.
Le hasard, et bien ce n'est rien
Mais la chance est la destinée.
David Gandil, 3 juin 2011