Casser un verre et commencer
A se prendre pour un grand dieu.
Renverser un verre et chanter
Sans raison, fortement heureux.
Te voir embrasser à tout-va
Ce qui devant toi passera,
Et oui, sans te se soucier de rien
Car tu ne penses alors à rien.
Dire pleins de phrases en folie
Mais très souvent la vérité.
Décrire toutes nos pensées
Et surtout nos folles envies.
Croire que nous pourrions bien
Marcher sur l'eau, en rigoler,
Pouvoir changer l'eau en un vin
Et parler à tous les objets.
Puis ne plus se soucier de l'heure,
Voir un si beau monde inconnu,
Pleins d'animaux et de couleurs,
Et bien sans doute, tu as bu.
Oui, tu oublie la vie réelle,
Tu vois la vie autrement belle.
Et tu peux te battre en duel
Pour une fille, la plus belle.
Là, quand la pression monte en nous
Que la folie nous rend tous fous,
Tu vas dandiner enivré,
Jumper, sauter, ne pas danser.
Loin, tes yeux se perdent brouillés,
Tu tombe par-terre, enivré,
Et tu t'endors en train de rire,
Te reveille sans souvenirs.
Cette vie, non, n'est pas pour moi,
Je la laisse, ne l'aime pas,
Ma destinée n'ai plus cela.
J'espère être attendu là-bas.
David Gandil, 11 juin 2011
A se prendre pour un grand dieu.
Renverser un verre et chanter
Sans raison, fortement heureux.
Te voir embrasser à tout-va
Ce qui devant toi passera,
Et oui, sans te se soucier de rien
Car tu ne penses alors à rien.
Dire pleins de phrases en folie
Mais très souvent la vérité.
Décrire toutes nos pensées
Et surtout nos folles envies.
Croire que nous pourrions bien
Marcher sur l'eau, en rigoler,
Pouvoir changer l'eau en un vin
Et parler à tous les objets.
Puis ne plus se soucier de l'heure,
Voir un si beau monde inconnu,
Pleins d'animaux et de couleurs,
Et bien sans doute, tu as bu.
Oui, tu oublie la vie réelle,
Tu vois la vie autrement belle.
Et tu peux te battre en duel
Pour une fille, la plus belle.
Là, quand la pression monte en nous
Que la folie nous rend tous fous,
Tu vas dandiner enivré,
Jumper, sauter, ne pas danser.
Loin, tes yeux se perdent brouillés,
Tu tombe par-terre, enivré,
Et tu t'endors en train de rire,
Te reveille sans souvenirs.
Cette vie, non, n'est pas pour moi,
Je la laisse, ne l'aime pas,
Ma destinée n'ai plus cela.
J'espère être attendu là-bas.
David Gandil, 11 juin 2011