Oui, si toi, tu ne m'aimes pas,
Ne t'intéresses pas à moi,
Ne me fais pas de compliment,
Car pour toi, j'ai des sentiments.
Cette vie, la veux-tu vraiment ?
Et bien, je ne le pense pas,
Non, moi non plus, je ne veux pas,
Encore une fois aimer tant.
J'ai trop entendu de mensonges,
Trop rêvé, eu pleins de beaux songes.
Mais seul à la fin de l'histoire,
J'attend le destin, garde espoir.
Voilà ce que je t'aurais dit,
Si tu étais venu ici,
Si j't'avais donné rendez-vous
Et si j'étais vraiment un fou.
Mais je me rappelle de toi,
Quand j'étais enfant, devant toi,
Pour la toute première fois.
Nous n'avons parlé qu'une fois.
A la façon d'un courtisan,
L'objet est tombé, ramassé.
Puis on se revoit, destinés,
La chance nous offre un moment.
David Gandil, 13 juin 2011
Ne t'intéresses pas à moi,
Ne me fais pas de compliment,
Car pour toi, j'ai des sentiments.
Cette vie, la veux-tu vraiment ?
Et bien, je ne le pense pas,
Non, moi non plus, je ne veux pas,
Encore une fois aimer tant.
J'ai trop entendu de mensonges,
Trop rêvé, eu pleins de beaux songes.
Mais seul à la fin de l'histoire,
J'attend le destin, garde espoir.
Voilà ce que je t'aurais dit,
Si tu étais venu ici,
Si j't'avais donné rendez-vous
Et si j'étais vraiment un fou.
Mais je me rappelle de toi,
Quand j'étais enfant, devant toi,
Pour la toute première fois.
Nous n'avons parlé qu'une fois.
A la façon d'un courtisan,
L'objet est tombé, ramassé.
Puis on se revoit, destinés,
La chance nous offre un moment.
David Gandil, 13 juin 2011