L'histoire a ainsi commencé,
Quand un jour, tu as fais tombé
D'une de tes poches, un objet,
Et que moi, je l'ai ramassé.
Mais dans la précipitation,
Je n'ai pas demandé ton nom,
Heureux d'avoir pu te parlé,
Comme un courtisan rougirait.
Oui, comme hier, je m'en rappelle
Car tu es toujours aussi belle.
Toi, tu as peut-être oublié,
Je peux bien te le pardonner.
Puis un, deux, trois, on se revoit,
Mais en nous, moi, je ne crois pas.
Je t'oublie, vers la destinée,
Pour ainsi mieux te retrouver.
Je t'ai vu en train pleurer
Et j'aurais voulu m'approcher
Car j'étais pleins de compassion,
J'aurais bien cherché la raison.
Mais on ne se connait pas tant
Et j'en apprends tant maintenant,
Tu me parle tellement bien,
La noblesse, est-ce notre lien ?
De toi, je suis émerveillé,
J'en oublie la réalité.
J'ai peur de faire des faux pas,
Croire que le chemin est droit.
David Gandil, 15 juin 2011
Quand un jour, tu as fais tombé
D'une de tes poches, un objet,
Et que moi, je l'ai ramassé.
Mais dans la précipitation,
Je n'ai pas demandé ton nom,
Heureux d'avoir pu te parlé,
Comme un courtisan rougirait.
Oui, comme hier, je m'en rappelle
Car tu es toujours aussi belle.
Toi, tu as peut-être oublié,
Je peux bien te le pardonner.
Puis un, deux, trois, on se revoit,
Mais en nous, moi, je ne crois pas.
Je t'oublie, vers la destinée,
Pour ainsi mieux te retrouver.
Je t'ai vu en train pleurer
Et j'aurais voulu m'approcher
Car j'étais pleins de compassion,
J'aurais bien cherché la raison.
Mais on ne se connait pas tant
Et j'en apprends tant maintenant,
Tu me parle tellement bien,
La noblesse, est-ce notre lien ?
De toi, je suis émerveillé,
J'en oublie la réalité.
J'ai peur de faire des faux pas,
Croire que le chemin est droit.
David Gandil, 15 juin 2011