Je pense donc je suis,
Voilà ce qu'ils ont dit.
Guidé par ce que j'entends,
Mais qui suis-je vraiment ?
Et bien je suis qui je suis
Mais qui suis-je alors,
Moi-même ou ceux de dehors ?
On fait tous ce qu'on nous dit.
Faut-il être ou suivre ?
Tout le monde nous enivre.
Faut-il toujours être
Ou faut-il aussi paraître ?
On nait comme un homme
Et on l'est toujours en somme.
Ainsi l'on pense à quoi ?
Aux autres et à soi !
Mais ce n'est certainement pas
Parce que moi, je pense,
Que tout le monde pense
Aussi bien à ce qui n'est pas.
Aussi on peut penser à cela
D'une certaine manière.
Mais les gens qui sont là,
Pensent d'une autre manière.
On ne peut juger les gens
Et ainsi vice versa
Car on pense faussement
Avec les pensées que l'on a.
On ne pense pas tous pareil
Car pleins de choses nous émerveille
Mais nous sommes tous unique,
Avec nos costumes magnifiques.
Ne suis-je pas la façon d'être ?
Quand on rencontre un être,
On le laisse parfois mettre des cailloux
Sur le chemin qui est à nous.
Mais par peur de l'environnement,
Par peur des autres êtres vivants,
On préfère tracer son chemin,
Sans l'aide de certaines mains.
On a peur de tomber,
De ne pas se relever.
Ici, je ne respecte rien,
Car je veux que ce soit bien.
Petit à petit, on trace le chemin,
Pierre par pierre, doucement,
Car on ne sait jamais, demain,
Il peut y avoir un changement.
David Gandil, 15 juin 2011
Voilà ce qu'ils ont dit.
Guidé par ce que j'entends,
Mais qui suis-je vraiment ?
Et bien je suis qui je suis
Mais qui suis-je alors,
Moi-même ou ceux de dehors ?
On fait tous ce qu'on nous dit.
Faut-il être ou suivre ?
Tout le monde nous enivre.
Faut-il toujours être
Ou faut-il aussi paraître ?
On nait comme un homme
Et on l'est toujours en somme.
Ainsi l'on pense à quoi ?
Aux autres et à soi !
Mais ce n'est certainement pas
Parce que moi, je pense,
Que tout le monde pense
Aussi bien à ce qui n'est pas.
Aussi on peut penser à cela
D'une certaine manière.
Mais les gens qui sont là,
Pensent d'une autre manière.
On ne peut juger les gens
Et ainsi vice versa
Car on pense faussement
Avec les pensées que l'on a.
On ne pense pas tous pareil
Car pleins de choses nous émerveille
Mais nous sommes tous unique,
Avec nos costumes magnifiques.
Ne suis-je pas la façon d'être ?
Quand on rencontre un être,
On le laisse parfois mettre des cailloux
Sur le chemin qui est à nous.
Mais par peur de l'environnement,
Par peur des autres êtres vivants,
On préfère tracer son chemin,
Sans l'aide de certaines mains.
On a peur de tomber,
De ne pas se relever.
Ici, je ne respecte rien,
Car je veux que ce soit bien.
Petit à petit, on trace le chemin,
Pierre par pierre, doucement,
Car on ne sait jamais, demain,
Il peut y avoir un changement.
David Gandil, 15 juin 2011