Je lance un coeur et un peu d'or
A toutes les personnes, ici,
Celles que j'aime et que j'adore,
Qui de ma vie, en font partie.
Celles qui demeurent dans mon coeur
Et chaque jour, dans mes pensées.
Elles modifient ma destinée
Et font tous les jours mon bonheur.
Je n'ai pas vraiment d'ennemis,
Car je suis mon propre ennemi !
Pour moi, ils sont tous mes amis,
Leur ennemi les apprécie.
J'aimerais offrir et donner,
Tant de choses, sans trop compter,
Car je pense le mériter,
Je crois en cette destinée.
Il faut mériter pour avoir,
Il faut aimer pour recevoir.
Il faut recevoir pour avoir
Et avoir un peu de pouvoir.
Oui, je serai à la hauteur,
Presque aussi noble que ton coeur.
N'y aura-t-il plus de mensonges
Si je deviens un de tes songes ?
Ton avenir, il t'appartient.
Seigneur, je vous tends une main.
N'as-tu toujours pas les moyens ?
Et bien, viens, tu es mon cousin.
Sans toi, moi, je ne suis rien, sôt,
Tu es, pour moi, mon eau de source.
Je suis toujours seul dans la course
Et cherche ma place là-haut.
Mais non, je ne vis pas pour moi,
Juste pour mon âme et les gens
Car on suit tous la même voie,
La lumière qui nous attend.
Un simple pas peut tout changer,
Nous sommes attendu de partout.
On écrit notre histoire, guidés,
Vers la sombre mort éclairée.
Quand le bonheur s'envolera,
Ne le revoyant plus jamais,
Mon coeur sera alors brulé,
L'au-delà se rapprochera.
David Gandil, 23 juin 2011
A toutes les personnes, ici,
Celles que j'aime et que j'adore,
Qui de ma vie, en font partie.
Celles qui demeurent dans mon coeur
Et chaque jour, dans mes pensées.
Elles modifient ma destinée
Et font tous les jours mon bonheur.
Je n'ai pas vraiment d'ennemis,
Car je suis mon propre ennemi !
Pour moi, ils sont tous mes amis,
Leur ennemi les apprécie.
J'aimerais offrir et donner,
Tant de choses, sans trop compter,
Car je pense le mériter,
Je crois en cette destinée.
Il faut mériter pour avoir,
Il faut aimer pour recevoir.
Il faut recevoir pour avoir
Et avoir un peu de pouvoir.
Oui, je serai à la hauteur,
Presque aussi noble que ton coeur.
N'y aura-t-il plus de mensonges
Si je deviens un de tes songes ?
Ton avenir, il t'appartient.
Seigneur, je vous tends une main.
N'as-tu toujours pas les moyens ?
Et bien, viens, tu es mon cousin.
Sans toi, moi, je ne suis rien, sôt,
Tu es, pour moi, mon eau de source.
Je suis toujours seul dans la course
Et cherche ma place là-haut.
Mais non, je ne vis pas pour moi,
Juste pour mon âme et les gens
Car on suit tous la même voie,
La lumière qui nous attend.
Un simple pas peut tout changer,
Nous sommes attendu de partout.
On écrit notre histoire, guidés,
Vers la sombre mort éclairée.
Quand le bonheur s'envolera,
Ne le revoyant plus jamais,
Mon coeur sera alors brulé,
L'au-delà se rapprochera.
David Gandil, 23 juin 2011