Les mots ont tous peu de valeur
Sauf ceux pour le bonheur de deux.
Le silence est donc l'or du coeur,
Car sans haine, on est bien heureux.
Quand je suis allé écouter
A la fête, de la musique
Tout d'abord très belle, classique,
Puis un peu plus mouvementée.
Il restera, le jour d'hier,
Longtemps dans toutes mes pensées.
Entre le jour et la soirée,
Bien belle était ma fois première.
J'ai retrouvé beaucoup de gens,
Dans les rues de notre village.
Des filles et des gars très contents,
Ensemble, écrivons une page.
C'est bien une très belle fille,
On peut beaucoup imaginer.
Ainsi oui, je suis bien enchanté
De voir une belle-famille.
Trahison que je ne veux pas,
Amour qu'elle ne peut avoir.
J'ai bien vu, tout est fait sans moi,
Amis et puis tant pis, ce soir.
Je suis de plus en plus heureux
Réunis là quelques secondes,
Devant moi, c'était merveilleux,
Dans notre beau et grand bas-monde.
Nous sommes tous un très grand lien
Qui unit par la joue, la main,
Des centaines de gens, à croire,
Présents dans notre longue histoire.
Joyeux de marcher en dansant,
Je revois tellement de gens
Perdus de vue et retrouvés,
Une fille inconnue changée.
Tout fini sur un sons reggae,
J'en suis assez émerveillé.
Et l'on s'en va dormir un peu,
Pleurant par manque mais heureux.
David Gandil, 26 juin 2011
Sauf ceux pour le bonheur de deux.
Le silence est donc l'or du coeur,
Car sans haine, on est bien heureux.
Quand je suis allé écouter
A la fête, de la musique
Tout d'abord très belle, classique,
Puis un peu plus mouvementée.
Il restera, le jour d'hier,
Longtemps dans toutes mes pensées.
Entre le jour et la soirée,
Bien belle était ma fois première.
J'ai retrouvé beaucoup de gens,
Dans les rues de notre village.
Des filles et des gars très contents,
Ensemble, écrivons une page.
C'est bien une très belle fille,
On peut beaucoup imaginer.
Ainsi oui, je suis bien enchanté
De voir une belle-famille.
Trahison que je ne veux pas,
Amour qu'elle ne peut avoir.
J'ai bien vu, tout est fait sans moi,
Amis et puis tant pis, ce soir.
Je suis de plus en plus heureux
Réunis là quelques secondes,
Devant moi, c'était merveilleux,
Dans notre beau et grand bas-monde.
Nous sommes tous un très grand lien
Qui unit par la joue, la main,
Des centaines de gens, à croire,
Présents dans notre longue histoire.
Joyeux de marcher en dansant,
Je revois tellement de gens
Perdus de vue et retrouvés,
Une fille inconnue changée.
Tout fini sur un sons reggae,
J'en suis assez émerveillé.
Et l'on s'en va dormir un peu,
Pleurant par manque mais heureux.
David Gandil, 26 juin 2011