Je vois cet homme
Qui, rejeté,
Cours enivré,
Nul part, en somme.
Un parmi tant,
On n'attend pas
De le voir là
Parmi les gens.
Illusionné,
Bien inconscient
Perdu le temps,
Tout s'est passé.
La tête ailleurs,
Tout oublié,
Coeur dévoilé,
Un peu de pleurs.
N'être qu'un nom
Sur du papier,
Et séparé.
Au bout du pont.
Dans une poche,
Homme fictif,
Mort sans un fils.
Tout se rapproche.
Pour réconfort,
Une pensée,
Un beau passé,
Un coeur en or.
Une musique,
Un animal,
Avoir moins mal,
En symbolique.
Où est Bonheur ?
Où est Charmant ?
Comme un enfant,
Perdu le coeur.
Prit dans ses mains
Pour souvenir,
Manque et sourire,
Et quel destin ?
Ô mélodie
Mélancolique,
Mort bien trop chic,
Laisse ma vie !
Rimes embrassées,
Enfant perdu
Dans une rue.
Je te suivrai.
Prennez ma main,
Prennez mon coeur,
Vie et bonheur,
C'est pour demain.
N'avoir pas peur,
Guidé, destin,
Dépends d'un rien,
N'attends qu'un coeur.
David Gandil, 30 juin et 1 juillet 2011
Qui, rejeté,
Cours enivré,
Nul part, en somme.
Un parmi tant,
On n'attend pas
De le voir là
Parmi les gens.
Illusionné,
Bien inconscient
Perdu le temps,
Tout s'est passé.
La tête ailleurs,
Tout oublié,
Coeur dévoilé,
Un peu de pleurs.
N'être qu'un nom
Sur du papier,
Et séparé.
Au bout du pont.
Dans une poche,
Homme fictif,
Mort sans un fils.
Tout se rapproche.
Pour réconfort,
Une pensée,
Un beau passé,
Un coeur en or.
Une musique,
Un animal,
Avoir moins mal,
En symbolique.
Où est Bonheur ?
Où est Charmant ?
Comme un enfant,
Perdu le coeur.
Prit dans ses mains
Pour souvenir,
Manque et sourire,
Et quel destin ?
Ô mélodie
Mélancolique,
Mort bien trop chic,
Laisse ma vie !
Rimes embrassées,
Enfant perdu
Dans une rue.
Je te suivrai.
Prennez ma main,
Prennez mon coeur,
Vie et bonheur,
C'est pour demain.
N'avoir pas peur,
Guidé, destin,
Dépends d'un rien,
N'attends qu'un coeur.
David Gandil, 30 juin et 1 juillet 2011