Grâce à Arthur, j'ai rencontré Louisa,
Tout est beau en elle, ainsi j'imagine
Rencontrer la fille qui me fascine
Dans un futur proche, en gardant ma foi.
Mademoiselle Siefert, je l'aime,
Elle est celle dont je rêve souvent,
Poète belle, son âme de même,
Et qui m'honore comme un bel enfant.
Je me suis permis d'être son amour
Le temps de quelques belles poésies.
Je la voyais entrer dans ma maison,
Avec une chevelure de lion.
Je suis émerveillé par ses histoires,
Ressens des sentiments, de l'émotion,
Car elle est simple et charmante, disons,
Mais l'amour est impossible, à en croire !
C'est bien beau de lire toutes ses pensées,
Heureuse ou malheureuse, j'apprécie.
Desbordes, elle, je n'ai pas aimé,
Trop sombres pensées pour y être assis.
Tout ce qu'elle écrit sort de son grand coeur,
Sincère et amoureux, rêvant bonheur,
Malgré la fatalité, tant d'amants :
Poètes aimants et moi ? Excusez m'en !
Pensant à notre vie déjà passée,
On se rappelle de tous nos regrets,
Ne pas avoir fait ceci ou cela,
Ou mal fait, trop tard, la vie n'attend pas.
Oh oui, il est vrai que tous les passés
Sont fait de souvenirs inoubliables.
Un grand, vrai, amour ne peut s'oublier
Malgré le malheur qui reste aux coupables.
Ne pas aimer alors qu'on est épris ?
L'avenir est difficile et rend fou.
Il est fait d'espoirs et rêves, on dit,
Il appartient au destin, Dieu et nous.
Je cache des choses, j'ai des secrets,
Car je suis heureux et veux le bonheur !
Sans peur, j'avoue mes sentiments, pensées,
Et ma vie intime aux gens au bon coeur.
David Gandil, 24 juillet 2011
Tout est beau en elle, ainsi j'imagine
Rencontrer la fille qui me fascine
Dans un futur proche, en gardant ma foi.
Mademoiselle Siefert, je l'aime,
Elle est celle dont je rêve souvent,
Poète belle, son âme de même,
Et qui m'honore comme un bel enfant.
Je me suis permis d'être son amour
Le temps de quelques belles poésies.
Je la voyais entrer dans ma maison,
Avec une chevelure de lion.
Je suis émerveillé par ses histoires,
Ressens des sentiments, de l'émotion,
Car elle est simple et charmante, disons,
Mais l'amour est impossible, à en croire !
C'est bien beau de lire toutes ses pensées,
Heureuse ou malheureuse, j'apprécie.
Desbordes, elle, je n'ai pas aimé,
Trop sombres pensées pour y être assis.
Tout ce qu'elle écrit sort de son grand coeur,
Sincère et amoureux, rêvant bonheur,
Malgré la fatalité, tant d'amants :
Poètes aimants et moi ? Excusez m'en !
Pensant à notre vie déjà passée,
On se rappelle de tous nos regrets,
Ne pas avoir fait ceci ou cela,
Ou mal fait, trop tard, la vie n'attend pas.
Oh oui, il est vrai que tous les passés
Sont fait de souvenirs inoubliables.
Un grand, vrai, amour ne peut s'oublier
Malgré le malheur qui reste aux coupables.
Ne pas aimer alors qu'on est épris ?
L'avenir est difficile et rend fou.
Il est fait d'espoirs et rêves, on dit,
Il appartient au destin, Dieu et nous.
Je cache des choses, j'ai des secrets,
Car je suis heureux et veux le bonheur !
Sans peur, j'avoue mes sentiments, pensées,
Et ma vie intime aux gens au bon coeur.
David Gandil, 24 juillet 2011