J'ai peur, je tremble et en frisonne !
Avant que vingt-trois heures sonnent
Au cloches de l'église, ici,
Une fille n'a plus de vie ?
J'écrivais une poésie
Quand j'ai entendu tant de cris,
D'une femme qui s'effrayait.
Le chien, lui, derrière, aboyait.
Elle a couru, très peu, sans aide,
Le chien ne grognait pas du tout !
Méchant ? Il courait comme un fou.
Je n'ai rien vu, et je le plaide.
Une voix d'homme ! Et la police ?
J'avais bien trop peur, Ô instinct,
A cause de toi, moi, complice ?
Le silence suivit, demain ?
Pourquoi moi ? Je n'entends plus rien,
Suis-je trop seul dans cette histoire ?
Qui était l'homme, et quoi, son chien ?
Morte ? Je n'ai rien vu ce soir !
J'ai peur pour moi et pour demain,
Peur, mon Dieu, d'un nouveau destin,
Tout est étrange et donc je suis
Méchant malgré moi, ce jourd'hui.
Je l'imagine, elle dehors,
L'horreur et le sang s'écoulait ?
N'espère pas, moi et la mort !
Je peux le jurer, tout est vrai !
David Gandil, 25 juillet 2011
Avant que vingt-trois heures sonnent
Au cloches de l'église, ici,
Une fille n'a plus de vie ?
J'écrivais une poésie
Quand j'ai entendu tant de cris,
D'une femme qui s'effrayait.
Le chien, lui, derrière, aboyait.
Elle a couru, très peu, sans aide,
Le chien ne grognait pas du tout !
Méchant ? Il courait comme un fou.
Je n'ai rien vu, et je le plaide.
Une voix d'homme ! Et la police ?
J'avais bien trop peur, Ô instinct,
A cause de toi, moi, complice ?
Le silence suivit, demain ?
Pourquoi moi ? Je n'entends plus rien,
Suis-je trop seul dans cette histoire ?
Qui était l'homme, et quoi, son chien ?
Morte ? Je n'ai rien vu ce soir !
J'ai peur pour moi et pour demain,
Peur, mon Dieu, d'un nouveau destin,
Tout est étrange et donc je suis
Méchant malgré moi, ce jourd'hui.
Je l'imagine, elle dehors,
L'horreur et le sang s'écoulait ?
N'espère pas, moi et la mort !
Je peux le jurer, tout est vrai !
David Gandil, 25 juillet 2011