C'est un bonheur poussé à la folie,
Une voix qui berce nos pensées,
Qui font tant de pensées irraisonnées
Durant quelques jours de ta simple vie.
C'est fou, oui, tu deviens fou, qui comprend ?
Car tu aimes, apprécies tout maintenant.
Parlant étrangement, n'importe quoi,
Disant tout et rien, sans réfléchir tant.
Le bonheur est un droit offert aux gens,
Mais faudrait-il vraiment le mériter ?
Tout est beau quand on est toujours content ?
Refusant de voir la réalité.
Le malheur présent, on ne le voit pas,
L'utilise pour un bonheur sans lois,
Et comme l'argent : rend fou, malheureux,
Dès que l'on se complait à être heureux.
Si tu veux, montre au pauvre malheureux
Ce qui te rend toujours le plus heureux
Mais ne lui donne pas d'envies, d'espoirs,
Le rêveur vise le haut, quelles histoires ?
Être trop heureux c'est bien malheureux,
On ne semble plus vouloir d'aide ici,
On aime, voit la beauté dans les yeux,
On ne croit pas à l'impossible envie.
David Gandil, 31 juillet 2011
Une voix qui berce nos pensées,
Qui font tant de pensées irraisonnées
Durant quelques jours de ta simple vie.
C'est fou, oui, tu deviens fou, qui comprend ?
Car tu aimes, apprécies tout maintenant.
Parlant étrangement, n'importe quoi,
Disant tout et rien, sans réfléchir tant.
Le bonheur est un droit offert aux gens,
Mais faudrait-il vraiment le mériter ?
Tout est beau quand on est toujours content ?
Refusant de voir la réalité.
Le malheur présent, on ne le voit pas,
L'utilise pour un bonheur sans lois,
Et comme l'argent : rend fou, malheureux,
Dès que l'on se complait à être heureux.
Si tu veux, montre au pauvre malheureux
Ce qui te rend toujours le plus heureux
Mais ne lui donne pas d'envies, d'espoirs,
Le rêveur vise le haut, quelles histoires ?
Être trop heureux c'est bien malheureux,
On ne semble plus vouloir d'aide ici,
On aime, voit la beauté dans les yeux,
On ne croit pas à l'impossible envie.
David Gandil, 31 juillet 2011