Sans le vouloir vraiment, je t'ai chercher
Et je t'ai bien vu, oui, je t'ai trouvé.
On était heureux, je ne voulais rien
De toi, qu'une amitié, sans lendemain.
Ma foi, me pardonneras-tu un jour ?
L'amour rend parfois fou, irraisonné,
Je rêvais un peu d'un nouvel amour,
Je voulais t'aimer, me suis-je trompé ?
Je t'ai vexé, énervé, offensé
En parlant de ton malheureux passé.
Les excuses ne font rien, ô promesses,
Tu ne veux plus me parler, je te laisse.
Tu me l'as dit, tu ne veux plus m'entendre
Et pourtant, je te croyais bien plus tendre.
J'avoue, j'étais heureux de ton malheur,
Excuse, déjà de mauvaise humeur.
Avec d'autres nous parlions très bien,
Sans interdits, tout dit, tout avoué,
Alors pourquoi suivre ce noble instinct,
Parler puis réfléchir, je m'en veux, et ?
Pourquoi garder espoir et en tout, croire ?
Pourquoi je pense, ici, encore à toi,
Si mal, avec bien trop de désespoir ?
Je ne voulais, en nous, que plus de joie.
Ainsi, j'attends, tu me pardonneras ?
Je n'y crois pas, enfin, alors tant pis,
Une déception de plus, en moi,
Restera longtemps, oui, je te le dis.
Ce jour-là, tu me l'as bien fait comprendre,
Je ferais bien attention avec toi
Si tu me laisses une chance, une fois,
Ou je te laisserai, sans rien comprendre.
A toi ce grand choix, de continuer
Ou ainsi, déçu, de nous arrêter,
Je me suis bien incliné devant toi,
Pardonne, s'il t'en plait, mon cœur a froid.
David Gandil, 6 août 2011
Et je t'ai bien vu, oui, je t'ai trouvé.
On était heureux, je ne voulais rien
De toi, qu'une amitié, sans lendemain.
Ma foi, me pardonneras-tu un jour ?
L'amour rend parfois fou, irraisonné,
Je rêvais un peu d'un nouvel amour,
Je voulais t'aimer, me suis-je trompé ?
Je t'ai vexé, énervé, offensé
En parlant de ton malheureux passé.
Les excuses ne font rien, ô promesses,
Tu ne veux plus me parler, je te laisse.
Tu me l'as dit, tu ne veux plus m'entendre
Et pourtant, je te croyais bien plus tendre.
J'avoue, j'étais heureux de ton malheur,
Excuse, déjà de mauvaise humeur.
Avec d'autres nous parlions très bien,
Sans interdits, tout dit, tout avoué,
Alors pourquoi suivre ce noble instinct,
Parler puis réfléchir, je m'en veux, et ?
Pourquoi garder espoir et en tout, croire ?
Pourquoi je pense, ici, encore à toi,
Si mal, avec bien trop de désespoir ?
Je ne voulais, en nous, que plus de joie.
Ainsi, j'attends, tu me pardonneras ?
Je n'y crois pas, enfin, alors tant pis,
Une déception de plus, en moi,
Restera longtemps, oui, je te le dis.
Ce jour-là, tu me l'as bien fait comprendre,
Je ferais bien attention avec toi
Si tu me laisses une chance, une fois,
Ou je te laisserai, sans rien comprendre.
A toi ce grand choix, de continuer
Ou ainsi, déçu, de nous arrêter,
Je me suis bien incliné devant toi,
Pardonne, s'il t'en plait, mon cœur a froid.
David Gandil, 6 août 2011