Nécessaires, j'ai toujours besoin d'elles,
Pour l'inspiration, ces fleurs du bonheur,
Pour que tant de poésies soient plus belles
En dévoilant ce qu'éprouve mon cœur.
C'est à l'encre rouge, ici, aujourd'hui,
Que j'écris ainsi cette poésie.
Espérant qu'elle plaise, où s'en ira,
Car je sais fort bien qu'elle me plaira.
C'est ainsi le rouge du bel amour
Qui me guide, espérant un jour mon tour.
Je ne sais pas vraiment où je m'en vais
Mais je vois, commence à l'imaginer.
C'était facile pour un courtisan
Séduisant ces gens particules liées,
C'était si facile pour un enfant
De rêver, pardonner, jouer, aimer.
Je vois, oui, je vois ce bien jeune enfant
Bientôt roi, aux cheveux longs et soyeux,
Qui s'amuse, fait des princesses, heureux,
Qui rêve du grand pouvoir qui l'attend.
Et ce grand enfant, joyeux, qui séduit
D'un simple sourire qu'il lance ainsi,
S'il le souhaite et en a vraiment l'envie,
Il peut tout avoir s'il le veut, d'or mit.
Et voilà comment écrire une histoire,
Sans savoir encore où j'allais ce soir.
C'est bien ou pas, c'est simple, et c'est mon or
Qui me rend heureux, rêveur, je m'endors.
David Gandil, 7 et 8 août 2011
Pour l'inspiration, ces fleurs du bonheur,
Pour que tant de poésies soient plus belles
En dévoilant ce qu'éprouve mon cœur.
C'est à l'encre rouge, ici, aujourd'hui,
Que j'écris ainsi cette poésie.
Espérant qu'elle plaise, où s'en ira,
Car je sais fort bien qu'elle me plaira.
C'est ainsi le rouge du bel amour
Qui me guide, espérant un jour mon tour.
Je ne sais pas vraiment où je m'en vais
Mais je vois, commence à l'imaginer.
C'était facile pour un courtisan
Séduisant ces gens particules liées,
C'était si facile pour un enfant
De rêver, pardonner, jouer, aimer.
Je vois, oui, je vois ce bien jeune enfant
Bientôt roi, aux cheveux longs et soyeux,
Qui s'amuse, fait des princesses, heureux,
Qui rêve du grand pouvoir qui l'attend.
Et ce grand enfant, joyeux, qui séduit
D'un simple sourire qu'il lance ainsi,
S'il le souhaite et en a vraiment l'envie,
Il peut tout avoir s'il le veut, d'or mit.
Et voilà comment écrire une histoire,
Sans savoir encore où j'allais ce soir.
C'est bien ou pas, c'est simple, et c'est mon or
Qui me rend heureux, rêveur, je m'endors.
David Gandil, 7 et 8 août 2011