Un courtisan, oui, qui ainsi se voit,
Bien heureux, se doit d'être courageux,
Et de paraître, s'il ne l'ai déjà,
Avec toute foi, fidèle, amoureux.
Il faut parfois faire bien attention
Aux folles envies et surtout son paraître,
Il faut bien chercher d'apprendre à connaître
Avant d'aimer ou juger par le nom.
Timide, je le suis peut-être bien,
Mais par peur, simple destin non rêvé
Ou de par une peur de déranger,
Voulant être l'aide dans le besoin.
Je veux juste être moi-même, enivré,
Qu'on me laisse penser à mon vouloir,
A mon aise, et que je garde l'espoir
Qui me donne les envies de rêver.
Avoir confiance en moi, croire en moi,
Il le faut, je le sais, j'y penserai.
Lorsque belle à particule sera
Devant moi, cousine, je l'aimerai.
Non, je ne pense pas que j'aurai peur,
Mon sang est sans doute un peu en son corps,
Mais mon cœur sera-t-il à la hauteur ?
Peut-être, avec chance, amoureux dès lors.
David Gandil, 8 août 2011
Bien heureux, se doit d'être courageux,
Et de paraître, s'il ne l'ai déjà,
Avec toute foi, fidèle, amoureux.
Il faut parfois faire bien attention
Aux folles envies et surtout son paraître,
Il faut bien chercher d'apprendre à connaître
Avant d'aimer ou juger par le nom.
Timide, je le suis peut-être bien,
Mais par peur, simple destin non rêvé
Ou de par une peur de déranger,
Voulant être l'aide dans le besoin.
Je veux juste être moi-même, enivré,
Qu'on me laisse penser à mon vouloir,
A mon aise, et que je garde l'espoir
Qui me donne les envies de rêver.
Avoir confiance en moi, croire en moi,
Il le faut, je le sais, j'y penserai.
Lorsque belle à particule sera
Devant moi, cousine, je l'aimerai.
Non, je ne pense pas que j'aurai peur,
Mon sang est sans doute un peu en son corps,
Mais mon cœur sera-t-il à la hauteur ?
Peut-être, avec chance, amoureux dès lors.
David Gandil, 8 août 2011