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On vient de me conseiller, informer,
Sur la vie bien étrange d'une dame,
Demoiselle que je croyais. Ô charme
Qui semblait avoir une belle âme.
Totalement, on veut que je l'oublie
Même si ne pouvant être qu'amis,
Musical et follement séparés,
Amour, se marier est vite oublié.
On me dit qu'elle s'invente une vie,
Ce n'est parfois pas la sienne, rêvée,
Tout cela pour nous plaire et être aimé ?
Pour trahir à la suite sans envies.
Je lui disais tout et je deviens fou.
Avoir encore confiance et lui parler,
Ça me fait peur, un peu j'en pleurerai,
La vérité, où, dis-moi, elle est où ?
Et j'ai peur qu'elle lance des rumeurs
Ou mensonges qu'en songes elle aurait eu,
Et que malheureux devienne mon cœur.
Si cet aveu n'est pas vrai, je l'ai cru.
Je prends conscience de tout maintenant
Et me pose des questions, tellement,
Elle ne crie pas à l'aide, et alors ?
Faut-il l'aider, voir pleurer sur un corps ?
L'apparence est parfois bien trop trompeuse,
Elle se plait à être l'amoureuse,
Sans lendemains, elle prend la fumée
Et l'eau royale à l'excès, pour rêver.
Comment peut-elle tous les oublier,
Elle semble sage, mais non, un passé
Honteux, un peu consciente, ô sa folie,
Et dieu en elle pourtant ne la suit ?
Elle m'a raconté bien trop d'histoires
Sur elle, passé, présent et futur.
Qu'est-ce qui est vrai, en quoi faut-il croire ?
Un, deux amis la laissent, est-ce bien sûr ?
Comme un courtisan, cette courtisane,
Se prend peut-être bien pour une dame,
Je l'appelais bien Votre Majesté,
J'étais Monseigneur, celui qui l'aimait.
Ce temps est bien révolu, un, deux mois
Sont passés par là, destin, destinée,
Et vois là, à leur manière, rêvée,
Mensonges, critiques et paraître, là !
Belle et sympa, mais pas très futée,
Alors pourquoi peu de réalité ?
Ce n'est là qu'une fille parmi tant,
L'amour plus haut, lui, je pense, m'attend.
David Gandil, 8 août 2011
Sur la vie bien étrange d'une dame,
Demoiselle que je croyais. Ô charme
Qui semblait avoir une belle âme.
Totalement, on veut que je l'oublie
Même si ne pouvant être qu'amis,
Musical et follement séparés,
Amour, se marier est vite oublié.
On me dit qu'elle s'invente une vie,
Ce n'est parfois pas la sienne, rêvée,
Tout cela pour nous plaire et être aimé ?
Pour trahir à la suite sans envies.
Je lui disais tout et je deviens fou.
Avoir encore confiance et lui parler,
Ça me fait peur, un peu j'en pleurerai,
La vérité, où, dis-moi, elle est où ?
Et j'ai peur qu'elle lance des rumeurs
Ou mensonges qu'en songes elle aurait eu,
Et que malheureux devienne mon cœur.
Si cet aveu n'est pas vrai, je l'ai cru.
Je prends conscience de tout maintenant
Et me pose des questions, tellement,
Elle ne crie pas à l'aide, et alors ?
Faut-il l'aider, voir pleurer sur un corps ?
L'apparence est parfois bien trop trompeuse,
Elle se plait à être l'amoureuse,
Sans lendemains, elle prend la fumée
Et l'eau royale à l'excès, pour rêver.
Comment peut-elle tous les oublier,
Elle semble sage, mais non, un passé
Honteux, un peu consciente, ô sa folie,
Et dieu en elle pourtant ne la suit ?
Elle m'a raconté bien trop d'histoires
Sur elle, passé, présent et futur.
Qu'est-ce qui est vrai, en quoi faut-il croire ?
Un, deux amis la laissent, est-ce bien sûr ?
Comme un courtisan, cette courtisane,
Se prend peut-être bien pour une dame,
Je l'appelais bien Votre Majesté,
J'étais Monseigneur, celui qui l'aimait.
Ce temps est bien révolu, un, deux mois
Sont passés par là, destin, destinée,
Et vois là, à leur manière, rêvée,
Mensonges, critiques et paraître, là !
Belle et sympa, mais pas très futée,
Alors pourquoi peu de réalité ?
Ce n'est là qu'une fille parmi tant,
L'amour plus haut, lui, je pense, m'attend.
David Gandil, 8 août 2011
