Longtemps, sur un long chemin, j'ai marché,
Jusqu'à en avoir presque mal aux pieds.
Au bord de l'océan, tournant en rond,
Où le pays se perd à l'horizon.
Je ne savais pas vraiment où j'allais,
Je le découvrais et l'imaginais.
Je marchais seul, heureux, en liberté,
Sur un chemin fait de sable, doré.
Rêveur, grimpant sur de bien grands rochers,
Pour sentir les vagues d'un peu plus près,
Pour voir le soleil, sur l'eau bleue, briller,
Voir l'eau avec le ciel se retrouver.
Joyeux, le grand soleil m'a fait rougir.
Nature, les filles étaient nobles et belles,
On le sait bien, ici, peuvent éblouir
L'homme qui s'approcherait trop près d'elles.
Mais vois, toujours personne à l'horizon
Qui soit vraiment prise comme passion.
Être infidèle pour être fidèle,
C'est l'ange qui rêve d'avoir des ailes.
David Gandil, 11 août 2011
Jusqu'à en avoir presque mal aux pieds.
Au bord de l'océan, tournant en rond,
Où le pays se perd à l'horizon.
Je ne savais pas vraiment où j'allais,
Je le découvrais et l'imaginais.
Je marchais seul, heureux, en liberté,
Sur un chemin fait de sable, doré.
Rêveur, grimpant sur de bien grands rochers,
Pour sentir les vagues d'un peu plus près,
Pour voir le soleil, sur l'eau bleue, briller,
Voir l'eau avec le ciel se retrouver.
Joyeux, le grand soleil m'a fait rougir.
Nature, les filles étaient nobles et belles,
On le sait bien, ici, peuvent éblouir
L'homme qui s'approcherait trop près d'elles.
Mais vois, toujours personne à l'horizon
Qui soit vraiment prise comme passion.
Être infidèle pour être fidèle,
C'est l'ange qui rêve d'avoir des ailes.
David Gandil, 11 août 2011