Ô poésies, poètes disparus,
Réservées aux nobles gens autrefois,
Aujourd'hui, on nous permet d'avoir foi,
De s'élever tout là-haut, un peu plus.
Comme Versailles, le peuple est en haut,
Le noble passe inaperçu, trop fou.
La mode est descendue, unie aux loups,
Une certaine prestance, crois trop.
Est-ce une honte, voir le haut en bas
Et voir le bas flâner avec le haut ?
Si le bas vient du haut, en somme, loi,
Si faite est la vie grâce au soleil, beau.
Je suis leur cousin, mais un peu leur fils,
Ils étaient rois, je suis prince aujourd'hui,
Et je crois à la princesse de lys,
En la bien merveilleuse et rêvée vie.
Je suis fils de roi, s'en est avéré,
C'est un fait que je ne peux oublier.
Des millions de cousins au pays, là,
Dans cette époque, on se retrouvera.
Sommes-nous aimé, les poètes nobles ?
Amour et Nature sont de beaux sujets,
Dont je crois et dis, avoir hérité,
Mais est-ce vrai ? On ne le croit, en robe.
Mais les habits restent des uniformes,
Trop maniérés, ah bon ? Alors suis !
Les loups renient le chien qui aboie
D'une belle manière avec les hommes.
Il va alors retrouver les vieux chiens,
Qui lui racontent tant de belles histoires,
Et il versifie ce qui lui plait bien,
Oubliant la Révolution pour gloire.
David Gandil, 12 août 2011
Réservées aux nobles gens autrefois,
Aujourd'hui, on nous permet d'avoir foi,
De s'élever tout là-haut, un peu plus.
Comme Versailles, le peuple est en haut,
Le noble passe inaperçu, trop fou.
La mode est descendue, unie aux loups,
Une certaine prestance, crois trop.
Est-ce une honte, voir le haut en bas
Et voir le bas flâner avec le haut ?
Si le bas vient du haut, en somme, loi,
Si faite est la vie grâce au soleil, beau.
Je suis leur cousin, mais un peu leur fils,
Ils étaient rois, je suis prince aujourd'hui,
Et je crois à la princesse de lys,
En la bien merveilleuse et rêvée vie.
Je suis fils de roi, s'en est avéré,
C'est un fait que je ne peux oublier.
Des millions de cousins au pays, là,
Dans cette époque, on se retrouvera.
Sommes-nous aimé, les poètes nobles ?
Amour et Nature sont de beaux sujets,
Dont je crois et dis, avoir hérité,
Mais est-ce vrai ? On ne le croit, en robe.
Mais les habits restent des uniformes,
Trop maniérés, ah bon ? Alors suis !
Les loups renient le chien qui aboie
D'une belle manière avec les hommes.
Il va alors retrouver les vieux chiens,
Qui lui racontent tant de belles histoires,
Et il versifie ce qui lui plait bien,
Oubliant la Révolution pour gloire.
David Gandil, 12 août 2011