J'ai toujours voulu goûter au plaisir
D'effleurer une fleur et lui parler
De ce que mon noble cœur voudrait dire
A la dame qui le mériterait.
Lui avouant ma faiblesse auprès d'elle,
La tendresse et noblesse, mon amour,
Tout ce que j'endure, éprouve, à la belle
Voix, qui me regarde enfin à ce jour.
Encore et toujours rêveur et heureux,
Assis ensemble à l'ombre du soleil,
Qui se couche peu à peu dans le ciel
Pour dormir dans l'eau bleue de ses beaux yeux.
Le ciel rougit et nos peaux blanches aussi,
La joie sur nos joues se perd, horizons,
Seuls au monde, étrange sentiment fou,
La voix tremble et nos mains sont réunies.
La courtisane dont je rêve est là,
La princesse ne ment plus contre moi,
Je ne sais pas quoi lui dire aujourd'hui,
Je suis plongé dans mes pensées jolies.
Je vois dans ses yeux tout ce qu'elle veut,
Rêve, ne peut être que merveilleux.
Assis, ainsi, sur le sable doré,
L'eau brille sous le ciel jaune-orangé.
J'attendais ce moment depuis longtemps,
Mais à elle, quels sont ses sentiments ?
M'évite-t-elle pour bien me retrouver
Ou plaire est un défit qui m'est lancé ?
Sa voix, comme un beau violon, est douce,
Son noble cœur, amoureux, m'éclabousse.
Dans sa vie, rien n'est pris au sérieux,
Un avenir heureux, fou et joyeux.
Et moi qui ne suis toujours que trop droit,
Moins fou et joyeux, juste heureux, ma foi,
Que puis-je faire face à la passion,
D'une âme simple, et belle perfection ?
Elle me critique quand je ne suis,
Trop haute pour moi, ne mérite pas ?
Étonné parfois par ce qu'elle dit,
Courtisane riche et prince qui croit.
David Gandil, 13 août 2011
D'effleurer une fleur et lui parler
De ce que mon noble cœur voudrait dire
A la dame qui le mériterait.
Lui avouant ma faiblesse auprès d'elle,
La tendresse et noblesse, mon amour,
Tout ce que j'endure, éprouve, à la belle
Voix, qui me regarde enfin à ce jour.
Encore et toujours rêveur et heureux,
Assis ensemble à l'ombre du soleil,
Qui se couche peu à peu dans le ciel
Pour dormir dans l'eau bleue de ses beaux yeux.
Le ciel rougit et nos peaux blanches aussi,
La joie sur nos joues se perd, horizons,
Seuls au monde, étrange sentiment fou,
La voix tremble et nos mains sont réunies.
La courtisane dont je rêve est là,
La princesse ne ment plus contre moi,
Je ne sais pas quoi lui dire aujourd'hui,
Je suis plongé dans mes pensées jolies.
Je vois dans ses yeux tout ce qu'elle veut,
Rêve, ne peut être que merveilleux.
Assis, ainsi, sur le sable doré,
L'eau brille sous le ciel jaune-orangé.
J'attendais ce moment depuis longtemps,
Mais à elle, quels sont ses sentiments ?
M'évite-t-elle pour bien me retrouver
Ou plaire est un défit qui m'est lancé ?
Sa voix, comme un beau violon, est douce,
Son noble cœur, amoureux, m'éclabousse.
Dans sa vie, rien n'est pris au sérieux,
Un avenir heureux, fou et joyeux.
Et moi qui ne suis toujours que trop droit,
Moins fou et joyeux, juste heureux, ma foi,
Que puis-je faire face à la passion,
D'une âme simple, et belle perfection ?
Elle me critique quand je ne suis,
Trop haute pour moi, ne mérite pas ?
Étonné parfois par ce qu'elle dit,
Courtisane riche et prince qui croit.
David Gandil, 13 août 2011