Les poésies n'ont de règles que celles
Du cœur qui les a écrit pour belles, elles.
Le nom d'une poésie
Ne peut être que Poésie,
Tout le reste est superflu,
Mal écrit, inventé en plus.
C'est cette ressemblance
Qui fait la pertinence.
Les syllabes se baladent entre les vers,
Leur temps n'est jamais compté, contre eux, envers.
Une heure, une poésie, simple souvenir
Où l'on voit, aperçoit, le début de la fin,
Et c'est ainsi qu'on commence à en avoir faim,
Simple, brève et belle, sans lâsseur à venir.
Le poète est idiot
Mais le cœur est très beau.
Prends tout le monde en considération,
Ne renies personne, même ennemi,
Car, non, ce n'est pas de sa faute à lui,
Mais de sa foi et son éducation.
David Gandil, 13 et 14 août 2011
Du cœur qui les a écrit pour belles, elles.
Le nom d'une poésie
Ne peut être que Poésie,
Tout le reste est superflu,
Mal écrit, inventé en plus.
C'est cette ressemblance
Qui fait la pertinence.
Les syllabes se baladent entre les vers,
Leur temps n'est jamais compté, contre eux, envers.
Une heure, une poésie, simple souvenir
Où l'on voit, aperçoit, le début de la fin,
Et c'est ainsi qu'on commence à en avoir faim,
Simple, brève et belle, sans lâsseur à venir.
Le poète est idiot
Mais le cœur est très beau.
Prends tout le monde en considération,
Ne renies personne, même ennemi,
Car, non, ce n'est pas de sa faute à lui,
Mais de sa foi et son éducation.
David Gandil, 13 et 14 août 2011