J'ose écrire sur ta blanche robe
En l'ornant de fleurs de lys. Et dès l'aube,
On se quitte et se retrouve plus tard,
Pour vivre ensemble une nouvelle histoire.
Je t'offre rose, lys, des fleurs qui fanent,
Tu les veux, les voici alors pour toi.
Et main dans la main, sous Soleil, on flâne
Dans les jardins jusqu'à que je ne vois.
Voici notre union, musicale et belle,
Nos fiançailles commencent déjà
Mais vont bientôt se terminer, je vois,
Tout est passager alors je t'appelle.
Nommée Poésie car noble est ton nom,
Sur ta robe dentelée, j'écris tout
Mon plaisir, mes envies cachées dessous,
Oserai-je tourner la page ? Oh, non.
Je continue l'histoire si tu veux,
Encore un peu, tendre et délicieux.
J'y mets, là, un peu de couleur quand même,
Car vois-le, je ne l'aime pas, je l'aime !
Un peu d'or ici-bas ne fait pas mal,
Dans ce pays vert avec l'animal.
Ce que je vois, je te le dis, heureux,
Fidèle, je t'aime, fin, amoureux.
David Gandil, 14 août 2011
En l'ornant de fleurs de lys. Et dès l'aube,
On se quitte et se retrouve plus tard,
Pour vivre ensemble une nouvelle histoire.
Je t'offre rose, lys, des fleurs qui fanent,
Tu les veux, les voici alors pour toi.
Et main dans la main, sous Soleil, on flâne
Dans les jardins jusqu'à que je ne vois.
Voici notre union, musicale et belle,
Nos fiançailles commencent déjà
Mais vont bientôt se terminer, je vois,
Tout est passager alors je t'appelle.
Nommée Poésie car noble est ton nom,
Sur ta robe dentelée, j'écris tout
Mon plaisir, mes envies cachées dessous,
Oserai-je tourner la page ? Oh, non.
Je continue l'histoire si tu veux,
Encore un peu, tendre et délicieux.
J'y mets, là, un peu de couleur quand même,
Car vois-le, je ne l'aime pas, je l'aime !
Un peu d'or ici-bas ne fait pas mal,
Dans ce pays vert avec l'animal.
Ce que je vois, je te le dis, heureux,
Fidèle, je t'aime, fin, amoureux.
David Gandil, 14 août 2011