Je crie au désespoir, sans plus d'espoirs.
On est rien sans rien, quand on ne voit rien,
Sans l'aide des gens et sans les moyens
De voyager et tant s'émerveiller,
Vivre et de l'avenir, toujours rêver.
Il faut rêver mais j'ai peur de l'histoire.
Le destin ne me veut-il que du bien ?
Aujourd'hui, je me sens comme un seigneur
Laissé seul dans son château, pour la vie ?
Car bien trop loin, le bel amour demeure,
Dans une autre province, autre pays,
Dont je ne connait pas le nom, si bien ?
Ô la jeune blonde qui chaste est bien,
Je crois que c'est d'elle dont j'ai rêvé.
Enfant de Nature, je veux sa fleur,
En échange je promettrai mon cœur.
De celle qui m'aide, embrasse la main,
Bien trop noblement, me mets à l'aimer.
Je suis toujours bien seul et le demeure,
Et cela depuis naissance en hauteur.
Avec mes propres façons de penser
Des amours impossibles et éloignés,
Des frères et sœurs qui ne sont jamais nés.
Héritier d'un trône princier !
David Gandil, 23 et 24 août 2011
On est rien sans rien, quand on ne voit rien,
Sans l'aide des gens et sans les moyens
De voyager et tant s'émerveiller,
Vivre et de l'avenir, toujours rêver.
Il faut rêver mais j'ai peur de l'histoire.
Le destin ne me veut-il que du bien ?
Aujourd'hui, je me sens comme un seigneur
Laissé seul dans son château, pour la vie ?
Car bien trop loin, le bel amour demeure,
Dans une autre province, autre pays,
Dont je ne connait pas le nom, si bien ?
Ô la jeune blonde qui chaste est bien,
Je crois que c'est d'elle dont j'ai rêvé.
Enfant de Nature, je veux sa fleur,
En échange je promettrai mon cœur.
De celle qui m'aide, embrasse la main,
Bien trop noblement, me mets à l'aimer.
Je suis toujours bien seul et le demeure,
Et cela depuis naissance en hauteur.
Avec mes propres façons de penser
Des amours impossibles et éloignés,
Des frères et sœurs qui ne sont jamais nés.
Héritier d'un trône princier !
David Gandil, 23 et 24 août 2011