Tandis qu'à Versailles on ne peut rêver
Car le soleil et l'or nous éblouit,
C'en est de même, toi à mes côtés,
Par beauté, en dormant dans ce grand lit.
C'est ainsi, ne pouvant plus que penser,
Que je te nomme princesse, moi, prince,
Permets-le moi car tant j'en rêverais,
Que vous êtes mon songe, belle et mince.
Puisqu'ainsi vous ne me permettez plus
De rêver, m'amour, de vous, je m'éprant,
Et m'enivrant pour avoir des enfants
Un jour, je perds la raison dans des rues.
Je ne suis plus moi et je suis à vous,
Je ne pense plus rien, suis un peu fou,
Est-ce l'amour ? Que je n'ai pas encore
Qui te rend belle et te promet tant d'or ?
On dit que la vie est plus difficile
Que ce dont je rêve et aujourd'hui, pense.
Je vois cela de plus en plus et lance
Mon cœur entre mes mains et pars, je file.
David Gandil, 24 août 2011
Car le soleil et l'or nous éblouit,
C'en est de même, toi à mes côtés,
Par beauté, en dormant dans ce grand lit.
C'est ainsi, ne pouvant plus que penser,
Que je te nomme princesse, moi, prince,
Permets-le moi car tant j'en rêverais,
Que vous êtes mon songe, belle et mince.
Puisqu'ainsi vous ne me permettez plus
De rêver, m'amour, de vous, je m'éprant,
Et m'enivrant pour avoir des enfants
Un jour, je perds la raison dans des rues.
Je ne suis plus moi et je suis à vous,
Je ne pense plus rien, suis un peu fou,
Est-ce l'amour ? Que je n'ai pas encore
Qui te rend belle et te promet tant d'or ?
On dit que la vie est plus difficile
Que ce dont je rêve et aujourd'hui, pense.
Je vois cela de plus en plus et lance
Mon cœur entre mes mains et pars, je file.
David Gandil, 24 août 2011