Ma chère amie que j'aime fortement,
Vous qui avez déjà trouvé l'amour,
Il faut que je vous raconte céans
Mes pensées, l'histoire de ce beau jour.
J'aime, c'est un fait que je revendique,
Une fille qui ne comprend mon art,
Ma façon de penser, énigmatique,
Tout nous désunit et pourtant, l'histoire.
C'était Saint-Louis, que je n'ai fêté,
Tout le monde ici n'en a l'intérêt.
Je pense à la belle et par une chance,
Elle vient me parler et tout commence.
Je pense le jour et rêve la nuit
Et sans arrêt, elle est dans mes pensées.
Elle parle et je réponds vérité,
Mes sentiments vont vers elle, m'amie.
Mon battement de cœur à presque outrance
Qui chavire au bonheur, en sa présence,
Qui désire et son cœur et son bonheur,
Aimant voir sa bouche de bonne humeur.
Mais me comprend-elle vraiment toujours,
Même si je ne parle pas comme elle ?
L'amour sera-t-il possible un beau jour,
Alors que nous sépare l'naturel ?
Quitterait-elle famille et pays,
Langage et sport et tout rien que pour moi ?
Pour me suivre, ô la bella ragazza,
M'accorder un enfant né par ici ?
A cheval, toujours la belle princesse,
Qui peut être courtisane à belle âme,
Et à pied, marche la belle duchesse,
Elle est bien plus duchesse, cette dame.
Je la vois toujours devant moi, ma foi,
J'aime ses blonds cheveux et ses verts yeux,
J'aimerais tant la voir, entre amoureux,
J'aime une allemande et ce n'est pas toi !
Et quoi ? Je vouvoie et tu me tutoie
Quand je vous regarde dans vos bleus yeux,
Et c'est ce que je n'aime pas, en soit.
L'avenir, ne pourra pas être heureux.
David Gandil, 25 et 26 août 2011
Vous qui avez déjà trouvé l'amour,
Il faut que je vous raconte céans
Mes pensées, l'histoire de ce beau jour.
J'aime, c'est un fait que je revendique,
Une fille qui ne comprend mon art,
Ma façon de penser, énigmatique,
Tout nous désunit et pourtant, l'histoire.
C'était Saint-Louis, que je n'ai fêté,
Tout le monde ici n'en a l'intérêt.
Je pense à la belle et par une chance,
Elle vient me parler et tout commence.
Je pense le jour et rêve la nuit
Et sans arrêt, elle est dans mes pensées.
Elle parle et je réponds vérité,
Mes sentiments vont vers elle, m'amie.
Mon battement de cœur à presque outrance
Qui chavire au bonheur, en sa présence,
Qui désire et son cœur et son bonheur,
Aimant voir sa bouche de bonne humeur.
Mais me comprend-elle vraiment toujours,
Même si je ne parle pas comme elle ?
L'amour sera-t-il possible un beau jour,
Alors que nous sépare l'naturel ?
Quitterait-elle famille et pays,
Langage et sport et tout rien que pour moi ?
Pour me suivre, ô la bella ragazza,
M'accorder un enfant né par ici ?
A cheval, toujours la belle princesse,
Qui peut être courtisane à belle âme,
Et à pied, marche la belle duchesse,
Elle est bien plus duchesse, cette dame.
Je la vois toujours devant moi, ma foi,
J'aime ses blonds cheveux et ses verts yeux,
J'aimerais tant la voir, entre amoureux,
J'aime une allemande et ce n'est pas toi !
Et quoi ? Je vouvoie et tu me tutoie
Quand je vous regarde dans vos bleus yeux,
Et c'est ce que je n'aime pas, en soit.
L'avenir, ne pourra pas être heureux.
David Gandil, 25 et 26 août 2011