J'étais seul, debout, dans un grand pré vert,
Je regardais le ciel et écoutais
La Nature, les oiseaux qui chantaient,
Rêvant d'une certaine manière.
Le vent, lui, soufflait sur l'herbe et les fleurs,
Il faisait frémir et battre mon cœur.
Le soleil brillait, il veillait sur moi,
Et je pensais à celle que j'émois.
Quand à l'instant, j'entends l'herbe froissée,
Une robe et des pas, c'est ma fleur, là,
La dame que j'aime, qui vient vers moi,
Qui veut me surprendre à son arrivée.
Je l'imagine, ces beaux cheveux blonds
Au vent, son sourire et sa robe blanche,
S'avançant, je ferme mes yeux marrons,
Je sens sa peau douce prenant ma manche.
Je me retourne, et la vois, magnifique,
Resplendissante, et la nomme m'amour.
Un baiser m'échappe, c'est un beau jour,
La scène est et jeune et humoristique.
Son ample robe rose et à dentelle,
Dans mes yeux fait comme des étincelles.
Et dans ses yeux verts, je vois la Nature
Qui me conte toutes ses aventures.
Je la prends entre mes bras et l'emmène
Au loin, car c'est le jour où l'on s'unit,
Je lui dis « Ti amo », lui dis « Je t'aime »,
Avec comme un courtisan mon habit.
La loi puis la foi fait notre union,
Elle portera alors mon simple nom
Et ma couronne, là, jusqu'à là-haut,
Nous dormirons un jour dans le château.
David Gandil, 27 août 2011
Je regardais le ciel et écoutais
La Nature, les oiseaux qui chantaient,
Rêvant d'une certaine manière.
Le vent, lui, soufflait sur l'herbe et les fleurs,
Il faisait frémir et battre mon cœur.
Le soleil brillait, il veillait sur moi,
Et je pensais à celle que j'émois.
Quand à l'instant, j'entends l'herbe froissée,
Une robe et des pas, c'est ma fleur, là,
La dame que j'aime, qui vient vers moi,
Qui veut me surprendre à son arrivée.
Je l'imagine, ces beaux cheveux blonds
Au vent, son sourire et sa robe blanche,
S'avançant, je ferme mes yeux marrons,
Je sens sa peau douce prenant ma manche.
Je me retourne, et la vois, magnifique,
Resplendissante, et la nomme m'amour.
Un baiser m'échappe, c'est un beau jour,
La scène est et jeune et humoristique.
Son ample robe rose et à dentelle,
Dans mes yeux fait comme des étincelles.
Et dans ses yeux verts, je vois la Nature
Qui me conte toutes ses aventures.
Je la prends entre mes bras et l'emmène
Au loin, car c'est le jour où l'on s'unit,
Je lui dis « Ti amo », lui dis « Je t'aime »,
Avec comme un courtisan mon habit.
La loi puis la foi fait notre union,
Elle portera alors mon simple nom
Et ma couronne, là, jusqu'à là-haut,
Nous dormirons un jour dans le château.
David Gandil, 27 août 2011