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L'enfant qui comprend

Posté par David Gandil, 29 août 2011 · 292 visite(s)

Petit enfant, je frayais mon chemin
Entre les bas d'hommes et les robes dames.
Aimant, j'effrayais les oiseaux le matin
Et le soir, me cachais sous les robes, âmes.

Étant petit, aimé de tout le monde,
Je ne savais pas ce qu'étais l'amour.
J'étais joyeux, riais pour un rien, Cour
Ah là, on y jouais filles et gars, ronde.

Après l'inconscience, conscience.
L'amitié ? L'amour ne comprend pas,
Quand c'est beau, on aime et n'apprécie pas,
Je tombe d'amour souvent et sans chance.

Quand on comprend enfin le sens de vie,
Veut vivre longtemps avec gens, envies,
Au nom du fils de la lys est l'espoir,
Ce qui peut continuer notre histoire.

Je ne viens que de Pomayrols, en nom,
De Château-Renault, au jour, j'en suis né,
D'Orléans, où je veux tant demeurer,
Couleur or, un peu gris, et bleu soyons.

Petit, je croyais aux contes de fée,
Moyen, un château en réalité,
Grand, je crois en tout, avec foi et loi,
Plus tard, des moyens à trouver, mon roi !

David Gandil, 29 août 2011



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