Ô mon ange, toi qui veilles sur moi
Autant que je veille toujours sur toi
Pour l'amour, la santé, la bonne humeur,
Pour que vivent encore longtemps nos cœurs.
Le soir, j'aime monter sur tes épaules,
Sur ton dos, tes ailes en plumes blanches
Et si douces quand je touche tes hanches,
Que je m'oublie et t'embrasse, c'est drôle.
Tu traines une fleur que j'ose cueillir
Avec une lame qui la blessa,
Mais sans pleurs ni peur pour son avenir
A l'or déterminé, auprès d'un roi.
Suis-je premier homme à toucher ton ciel ?
Je crois bien que oui, ô que tu m'es belle !
Dans tes yeux je plonge et m'envole loin,
Marche et attend l'enfant, nuage fin.
Tu m'as coupé le souffle et suis tombé
Amoureux de toi, ô ma destinée,
Dès l'aube, le jour, je suis tout à toi,
Ton sang sera le mien, emmènes-moi !
Je perd une plume et toi une fleur,
Là, la vie est d'une rose blancheur,
Rougissant quand le crime n'est qu'amour
Où fidèle, il n'y a point de détours.
David Gandil, 29 août 2011
Autant que je veille toujours sur toi
Pour l'amour, la santé, la bonne humeur,
Pour que vivent encore longtemps nos cœurs.
Le soir, j'aime monter sur tes épaules,
Sur ton dos, tes ailes en plumes blanches
Et si douces quand je touche tes hanches,
Que je m'oublie et t'embrasse, c'est drôle.
Tu traines une fleur que j'ose cueillir
Avec une lame qui la blessa,
Mais sans pleurs ni peur pour son avenir
A l'or déterminé, auprès d'un roi.
Suis-je premier homme à toucher ton ciel ?
Je crois bien que oui, ô que tu m'es belle !
Dans tes yeux je plonge et m'envole loin,
Marche et attend l'enfant, nuage fin.
Tu m'as coupé le souffle et suis tombé
Amoureux de toi, ô ma destinée,
Dès l'aube, le jour, je suis tout à toi,
Ton sang sera le mien, emmènes-moi !
Je perd une plume et toi une fleur,
Là, la vie est d'une rose blancheur,
Rougissant quand le crime n'est qu'amour
Où fidèle, il n'y a point de détours.
David Gandil, 29 août 2011