Je t'aime grand comme cette distance
Qui nous sépare. Et toi, y penses-tu ?
Car m'éloignant, c'est à toi que je pense
Tous les jours un peu plus fort, le vois-tu ?
Je suis libre et pourtant voudrais t'amour,
J'étais petit joyeux, là, grand heureux.
Vois-tu, la vie a son compte à rebours,
De plus en plus j'avance et amoureux.
Je compte les jours et les heures ici,
Passées encore une autre fois sans toi.
Mon cœur souffre un peu, car fort t'apprécie,
Sans ton accent charmant, ta belle voix.
Tes yeux me manquent, tes rêves contés,
Tes hanches blanches et douces aussi, crois-moi.
Sans bonheur de t'avoir entre mes bras,
Je demeure assis, toi dans mes pensées.
Quand pourrons-nous nous retrouver ensemble ?
Par la grâce du roi, alors j'attends,
Mais bien étrange, au moment, tu me semble.
J'ai des sentiments, en as-tu vraiment ?
Je veux te consoler si un peu pleures,
Et plonger mes yeux dans tes si beaux yeux,
Voulant sentir mon cœur contre ton cœur,
Et plonger mes mains dans tes longs cheveux.
Plus le temps est long, plus je t'apprécie,
J'appréhende nos retrouvailles, fait,
Plus mon rêve et mon envie s'agrandit.
Ma chère, au lendemain, je partirai.
David Gandil, 30 août 2011
Qui nous sépare. Et toi, y penses-tu ?
Car m'éloignant, c'est à toi que je pense
Tous les jours un peu plus fort, le vois-tu ?
Je suis libre et pourtant voudrais t'amour,
J'étais petit joyeux, là, grand heureux.
Vois-tu, la vie a son compte à rebours,
De plus en plus j'avance et amoureux.
Je compte les jours et les heures ici,
Passées encore une autre fois sans toi.
Mon cœur souffre un peu, car fort t'apprécie,
Sans ton accent charmant, ta belle voix.
Tes yeux me manquent, tes rêves contés,
Tes hanches blanches et douces aussi, crois-moi.
Sans bonheur de t'avoir entre mes bras,
Je demeure assis, toi dans mes pensées.
Quand pourrons-nous nous retrouver ensemble ?
Par la grâce du roi, alors j'attends,
Mais bien étrange, au moment, tu me semble.
J'ai des sentiments, en as-tu vraiment ?
Je veux te consoler si un peu pleures,
Et plonger mes yeux dans tes si beaux yeux,
Voulant sentir mon cœur contre ton cœur,
Et plonger mes mains dans tes longs cheveux.
Plus le temps est long, plus je t'apprécie,
J'appréhende nos retrouvailles, fait,
Plus mon rêve et mon envie s'agrandit.
Ma chère, au lendemain, je partirai.
David Gandil, 30 août 2011