Se pourrait-il bien que l'on me sacra
Au lieu de me baptiser, par ma foi ?
Tu es né ici, aimeras ceci,
Et tu vivra ainsi, croyant en lui ?
On m'a donné un prénom et sous-nom
Car plus noble, donc sans tant de surnoms !
J'ai été sacré fils du père et mère,
Au nom du royaume de dieu, l'espère.
Ici-bas, retourner là-haut, j'espère.
Oh pétarail ! Et mets des accents, là,
Sur le vôtre, nôtre, où il n'y en a,
Invente des mots pour me satisfaire.
Et si l'on ne me comprend parfois pas,
Cela ne m'importe fort pas ou peu.
Sis, ici, sans amour qui ne se voit,
Je pourrais bien partir, sans eux, heureux.
J'ai connu un chien qui m'a appris tant,
Dont le beau silence de l'incompris,
Le réconfort, l'amour envers autrui.
Il est mort, quand mon père revenant.
David Gandil, 31 août et 1 septembre 2011
Au lieu de me baptiser, par ma foi ?
Tu es né ici, aimeras ceci,
Et tu vivra ainsi, croyant en lui ?
On m'a donné un prénom et sous-nom
Car plus noble, donc sans tant de surnoms !
J'ai été sacré fils du père et mère,
Au nom du royaume de dieu, l'espère.
Ici-bas, retourner là-haut, j'espère.
Oh pétarail ! Et mets des accents, là,
Sur le vôtre, nôtre, où il n'y en a,
Invente des mots pour me satisfaire.
Et si l'on ne me comprend parfois pas,
Cela ne m'importe fort pas ou peu.
Sis, ici, sans amour qui ne se voit,
Je pourrais bien partir, sans eux, heureux.
J'ai connu un chien qui m'a appris tant,
Dont le beau silence de l'incompris,
Le réconfort, l'amour envers autrui.
Il est mort, quand mon père revenant.
David Gandil, 31 août et 1 septembre 2011